Le Canada prend des mesures pour renforcer
la réglementation en ligne et cibler les algorithmes de recherche et de médias sociaux
Le gouvernement Trudeau prévoit une nouvelle réglementation potentiellement intrusive de l'IA en ce qui concerne
les recherches en ligne et les médias sociaux.
les recherches en ligne et les médias sociaux.
Si vous en avez assez de la censure et des menaces dystopiques contre les libertés civiles, s'abonner à Reclaim The Net.
(Se réapproprier le réseau) - Le Canada prend des mesures en vue d'une réglementation potentiellement intrusive de l'intelligence artificielle en ce qui concerne son application dans les services de recherche et de médias sociaux. Les intentions du gouvernement ont été dévoilées, notamment l'application de l'IA bien au-delà du domaine de l'IA générative, similaire au ChatGPT d'OpenAI. Les géants de l'industrie tels que Google et Facebook, qui utilisent l'IA pour les résultats de recherche, les traductions et la reconnaissance des goûts des clients, respectivement, font partie des concurrents visés par la réglementation, le gouvernement favorable à la censure ayant l'intention d'avoir son mot à dire sur le fonctionnement de ces algorithmes.
L'information provient du ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique du Canada (ISED), François-Philippe Champagne, dans une lettre soumise au comité de l'industrie chargé d'analyser le projet de loi C-27 - le projet de loi sur la réforme de la protection de la vie privée et la réglementation de l'IA. Les amendements précis restent toutefois à l'abri d'un examen minutieux, car l'organisme gouvernemental garde les changements proposés secrets.
Nous avons obtenu pour vous une copie de la facture originale ici.
Le cadre actuel du projet de loi C-27 laisse aux futures procédures réglementaires le soin d'identifier les mécanismes d'IA pouvant être classés dans la catégorie des "impacts élevés".
Le projet de loi C-27, en traitant les résultats des recherches et des médias sociaux comme des systèmes "à fort impact", risque de faire sourciller, car la volonté du gouvernement de réglementer la technologie s'est jusqu'à présent traduite par l'affirmation d'un plus grand contrôle sur le contenu et donc sur la parole.
Le non-respect de cette proposition peut entraîner des sanctions proportionnelles à 3% des recettes mondiales brutes.
La législation s'aventure sur un terrain controversé en introduisant dans la matrice, de manière inattendue, la réglementation de la modération du contenu et de la priorisation de la découvrabilité. Elle tente d'établir un parallèle entre ces questions et l'accusation de partialité lors du recrutement ou lorsqu'elle est utilisée par les forces de l'ordre, ce qui suscite une grande surprise. Par conséquent, les règles du Canada, bien qu'elles prétendent s'aligner plus étroitement sur celles de l'UE, semblent distinguer le pays, qui penche davantage vers la censure et moins vers la liberté d'expression.
Cette nouvelle fait suite à la récente réglementation canadienne sur les services en ligne, qui a suscité l'inquiétude.
Le projet de loi C-11, également connu sous le nom de Loi sur la diffusion en ligneLa loi sur l'accès à l'information et la protection de la vie privée, qui établit un cadre réglementaire pour les plateformes de diffusion numérique en continu telles que Netflix, Disney+ et Spotify, les obligeant à contribuer à la création et à la promotion de contenus canadiens. Cette loi habilite le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) à réglementer ces plateformes de la même manière que la radio et la télévision. Ses détracteurs estiment qu'elle porte atteinte au droit des citoyens canadiens de choisir les contenus qu'ils consomment,
ce qui pourrait conduire à une forme de censure.
Cela signifie également que les plateformes, même celles qui hébergent des doivent s'enregistrer auprès de l'État.
La loi a été qualifiée de "projet de loi sur la censure" par certains critiques, qui estiment que sa formulation est suffisamment vague pour permettre aux bureaucrates du gouvernement de contrôler secrètement les processus de sélection des contenus, limitant ainsi potentiellement la liberté de choix des Canadiens.
Le projet de loi utilise le prétexte de la liberté d'expression pour appliquer des mesures réglementaires, en affirmant qu'il sera mis en œuvre d'une manière compatible avec la liberté d'expression et l'indépendance journalistique, créative et de programmation dont jouissent les entreprises de radiodiffusion.
En outre, le projet de loi C-11, en mettant à jour la loi sur la radiodiffusion, soumet les créateurs de contenu numérique à la réglementation du CRTC, une mesure considérée comme potentiellement étouffante pour les créateurs numériques et comme un pas en avant vers la censure en ligne. Le débat autour du projet de loi, en particulier son passage au Sénat, a fait craindre à certains observateurs qu'il ne marque le début d'une nouvelle ère de censure de l'internet au Canada.
(Se réapproprier le réseau) - Le Canada prend des mesures en vue d'une réglementation potentiellement intrusive de l'intelligence artificielle en ce qui concerne son application dans les services de recherche et de médias sociaux. Les intentions du gouvernement ont été dévoilées, notamment l'application de l'IA bien au-delà du domaine de l'IA générative, similaire au ChatGPT d'OpenAI. Les géants de l'industrie tels que Google et Facebook, qui utilisent l'IA pour les résultats de recherche, les traductions et la reconnaissance des goûts des clients, respectivement, font partie des concurrents visés par la réglementation, le gouvernement favorable à la censure ayant l'intention d'avoir son mot à dire sur le fonctionnement de ces algorithmes.
L'information provient du ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique du Canada (ISED), François-Philippe Champagne, dans une lettre soumise au comité de l'industrie chargé d'analyser le projet de loi C-27 - le projet de loi sur la réforme de la protection de la vie privée et la réglementation de l'IA. Les amendements précis restent toutefois à l'abri d'un examen minutieux, car l'organisme gouvernemental garde les changements proposés secrets.
Nous avons obtenu pour vous une copie de la facture originale ici.
Le cadre actuel du projet de loi C-27 laisse aux futures procédures réglementaires le soin d'identifier les mécanismes d'IA pouvant être classés dans la catégorie des "impacts élevés".
Le projet de loi C-27, en traitant les résultats des recherches et des médias sociaux comme des systèmes "à fort impact", risque de faire sourciller, car la volonté du gouvernement de réglementer la technologie s'est jusqu'à présent traduite par l'affirmation d'un plus grand contrôle sur le contenu et donc sur la parole.
Le non-respect de cette proposition peut entraîner des sanctions proportionnelles à 3% des recettes mondiales brutes.
La législation s'aventure sur un terrain controversé en introduisant dans la matrice, de manière inattendue, la réglementation de la modération du contenu et de la priorisation de la découvrabilité. Elle tente d'établir un parallèle entre ces questions et l'accusation de partialité lors du recrutement ou lorsqu'elle est utilisée par les forces de l'ordre, ce qui suscite une grande surprise. Par conséquent, les règles du Canada, bien qu'elles prétendent s'aligner plus étroitement sur celles de l'UE, semblent distinguer le pays, qui penche davantage vers la censure et moins vers la liberté d'expression.
Cette nouvelle fait suite à la récente réglementation canadienne sur les services en ligne, qui a suscité l'inquiétude.
Le projet de loi C-11, également connu sous le nom de Loi sur la diffusion en ligneLa loi sur l'accès à l'information et la protection de la vie privée, qui établit un cadre réglementaire pour les plateformes de diffusion numérique en continu telles que Netflix, Disney+ et Spotify, les obligeant à contribuer à la création et à la promotion de contenus canadiens. Cette loi habilite le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) à réglementer ces plateformes de la même manière que la radio et la télévision. Ses détracteurs estiment qu'elle porte atteinte au droit des citoyens canadiens de choisir les contenus qu'ils consomment,
ce qui pourrait conduire à une forme de censure.
Cela signifie également que les plateformes, même celles qui hébergent des doivent s'enregistrer auprès de l'État.
La loi a été qualifiée de "projet de loi sur la censure" par certains critiques, qui estiment que sa formulation est suffisamment vague pour permettre aux bureaucrates du gouvernement de contrôler secrètement les processus de sélection des contenus, limitant ainsi potentiellement la liberté de choix des Canadiens.
Le projet de loi utilise le prétexte de la liberté d'expression pour appliquer des mesures réglementaires, en affirmant qu'il sera mis en œuvre d'une manière compatible avec la liberté d'expression et l'indépendance journalistique, créative et de programmation dont jouissent les entreprises de radiodiffusion.
En outre, le projet de loi C-11, en mettant à jour la loi sur la radiodiffusion, soumet les créateurs de contenu numérique à la réglementation du CRTC, une mesure considérée comme potentiellement étouffante pour les créateurs numériques et comme un pas en avant vers la censure en ligne. Le débat autour du projet de loi, en particulier son passage au Sénat, a fait craindre à certains observateurs qu'il ne marque le début d'une nouvelle ère de censure de l'internet au Canada.