Des toutous robotisés pour les aînés
dans les CHSLD
Ils ronronnent, miaulent, jappent et branlent la queue. Ils roulent parfois même sur le dos, mais ils ne mordent jamais. Jeudi matin, ils ont semé beaucoup de bonheur dans le cœur des résidants du Centre d’hébergement Jacques-Cartier. Ce ne sont pas de vrais animaux, mais plutôt des toutous robotisés qui ont été créés spécialement pour tenir compagnie aux aînés.
Au total, ce sont 52 peluches qui seront distribuées dans les CHSLD de Chicoutimi, Jonquière et La Baie. L’initiative est née grâce à un généreux don d’Intégral Subaru et en collaboration avec la Fondation de ma vie.
« Les aînés sont de grands oubliés. [...] Cette initiative, je le souhaite profondément, fera probablement une petite différence dans le cœur de nos aînés et de leur famille, et leur permettra peut-être de croire encore au père Noël et sentir qu’il existe vraiment, même sans une grosse barbe blanche », a souligné Lina Tremblay, propriétaire d’Intégral Subaru, en conférence de presse.
Lorsque les toutous ont été présentés à quelques bénéficiaires, les sourires ont été instantanés. L’un d’entre eux a un peu hésité, a préféré prendre le chien plutôt que le chat, mais après quelques minutes, on peut supposer qu’une relation était sur le point de se dessiner.
« Je n’aime pas les vrais. Je les aime mieux comme ça ! », a-t-elle dit.
Au total, ce sont 52 peluches qui seront distribuées dans les CHSLD de Chicoutimi, Jonquière et La Baie. L’initiative est née grâce à un généreux don d’Intégral Subaru et en collaboration avec la Fondation de ma vie.
« Les aînés sont de grands oubliés. [...] Cette initiative, je le souhaite profondément, fera probablement une petite différence dans le cœur de nos aînés et de leur famille, et leur permettra peut-être de croire encore au père Noël et sentir qu’il existe vraiment, même sans une grosse barbe blanche », a souligné Lina Tremblay, propriétaire d’Intégral Subaru, en conférence de presse.
Lorsque les toutous ont été présentés à quelques bénéficiaires, les sourires ont été instantanés. L’un d’entre eux a un peu hésité, a préféré prendre le chien plutôt que le chat, mais après quelques minutes, on peut supposer qu’une relation était sur le point de se dessiner.
« Je n’aime pas les vrais. Je les aime mieux comme ça ! », a-t-elle dit.
Lorsque les toutous ont été présentés à quelques bénéficiaires, les sourires ont été instantanés.
LE QUOTIDIEN, JEANNOT LÉVESQUE
Une autre résidante a flatté le petit chat, lui a donné des bisous, pendant qu’un monsieur berçait son animal en lui chantant Fais dodo.
« Ce sont des animaux robotisés qui vont nous permettre de faire des activés comme on le fait avec la zoothérapie traditionnelle, avec les risques et les désagréments en moins. Ça va nous permettre d’avoir des animaux en tout temps, de jour et de nuit, pour le divertissement des résidants, pour l’ennui, l’anxiété, dans des situations où ils ont besoin de donner du réconfort », a expliqué Marie-Claude Dion,
chef d’unité de soins infirmiers au Centre d’hébergement Jacques-Cartier.
Une intervenante qualifiée en zoothérapie se déplace déjà dans les centres d’hébergement deux ou trois fois par mois, mais pour les autres périodes où ce type de thérapie serait nécessaire, les bienfaits n’étaient pas accessibles.
« Parfois, quand on met ces animaux en présence de nos résidants, des sourires apparaissent, des larmes de joie aussi. Ça peut leur rappeler un ancien animal. Ça leur permet de s’apaiser en situation d’anxiété, d’agressivité, de reprendre le contact avec la réalité », a ajouté Mme Dion.
LE QUOTIDIEN, JEANNOT LÉVESQUE
Une autre résidante a flatté le petit chat, lui a donné des bisous, pendant qu’un monsieur berçait son animal en lui chantant Fais dodo.
« Ce sont des animaux robotisés qui vont nous permettre de faire des activés comme on le fait avec la zoothérapie traditionnelle, avec les risques et les désagréments en moins. Ça va nous permettre d’avoir des animaux en tout temps, de jour et de nuit, pour le divertissement des résidants, pour l’ennui, l’anxiété, dans des situations où ils ont besoin de donner du réconfort », a expliqué Marie-Claude Dion,
chef d’unité de soins infirmiers au Centre d’hébergement Jacques-Cartier.
Une intervenante qualifiée en zoothérapie se déplace déjà dans les centres d’hébergement deux ou trois fois par mois, mais pour les autres périodes où ce type de thérapie serait nécessaire, les bienfaits n’étaient pas accessibles.
« Parfois, quand on met ces animaux en présence de nos résidants, des sourires apparaissent, des larmes de joie aussi. Ça peut leur rappeler un ancien animal. Ça leur permet de s’apaiser en situation d’anxiété, d’agressivité, de reprendre le contact avec la réalité », a ajouté Mme Dion.
Lina Tremblay, propriétaire d’Intégral Subaru, et Marie-Claude Dion, chef d’unité de soins infirmiers au Centre d’hébergement Jacques-Cartier,
ont présenté les bienfaits des toutous robotisés.
ont présenté les bienfaits des toutous robotisés.