Fierté Montréal réclame la fin
de «lois coloniales et oppressives»
Le gouvernement du Québec doit amender le Code civil afin de permettre aux personnes trans migrantes demeurant dans la province de modifier leur nom sur les documents officiels.
C’est une des demandes de l’organisme Fierté Montréal, qui soutient et promeut les communautés
de la diversité sexuelle et la pluralité des genres.
Derrière le festival du même nom, Fierté Montréal déplore que la pleine reconnaissance des droits et des libertés des personnes de la diversité sexuelle et de genre ne soit toujours pas atteinte ici comme ailleurs. En l’occurrence, il est d’avis que les personnes trans et non binaires migrantes, mineures et ayant des enfants sont toujours discriminées, et l’organisme fustige «des lois coloniales et oppressives».
C’est une des demandes de l’organisme Fierté Montréal, qui soutient et promeut les communautés
de la diversité sexuelle et la pluralité des genres.
Derrière le festival du même nom, Fierté Montréal déplore que la pleine reconnaissance des droits et des libertés des personnes de la diversité sexuelle et de genre ne soit toujours pas atteinte ici comme ailleurs. En l’occurrence, il est d’avis que les personnes trans et non binaires migrantes, mineures et ayant des enfants sont toujours discriminées, et l’organisme fustige «des lois coloniales et oppressives».
Fierté Montréal demande aux différents gouvernements, mais aussi aux entreprises et à toutes autres organisations «d'avoir conscience du traumatisme qu'endurent les personnes trans lorsque confrontées à leur identité passée».
Par exemple, Fierté Montréal croit que le gouvernement du Québec doit permettre aux parents trans que leur identité véritable soit reflétée sur les certificats de naissance de leurs enfants.
L’organisme a fait ces trois demandes mardi, en rappelant qu’il y a 30 ans, dans la nuit du 14 juillet, une des descentes policières les plus violentes avait lieu au party Sex Garage.
Et, «30 ans plus tard, alors que la situation mondiale est exceptionnellement fragile, Fierté Montréal entend porter et faire réagir quant aux revendications suivantes: Reconnaissons pleinement l'identité de toutes les personnes trans et [non binaires] indépendamment de leur âge, citoyenneté ou leur statut parental», peut-on lire dans un communiqué publié à l’approche de l'édition 360 de Fierté Montréal, prévue du 10 au 16 août sur les réseaux sociaux.
Par ailleurs, l’organisme a tenu à faire savoir que la pandémie a eu des conséquences sur la santé des personnes de la diversité sexuelle et de genre, «dont particulièrement l'isolement et la hausse de la discrimination vécue».
Par exemple, Fierté Montréal croit que le gouvernement du Québec doit permettre aux parents trans que leur identité véritable soit reflétée sur les certificats de naissance de leurs enfants.
L’organisme a fait ces trois demandes mardi, en rappelant qu’il y a 30 ans, dans la nuit du 14 juillet, une des descentes policières les plus violentes avait lieu au party Sex Garage.
Et, «30 ans plus tard, alors que la situation mondiale est exceptionnellement fragile, Fierté Montréal entend porter et faire réagir quant aux revendications suivantes: Reconnaissons pleinement l'identité de toutes les personnes trans et [non binaires] indépendamment de leur âge, citoyenneté ou leur statut parental», peut-on lire dans un communiqué publié à l’approche de l'édition 360 de Fierté Montréal, prévue du 10 au 16 août sur les réseaux sociaux.
Par ailleurs, l’organisme a tenu à faire savoir que la pandémie a eu des conséquences sur la santé des personnes de la diversité sexuelle et de genre, «dont particulièrement l'isolement et la hausse de la discrimination vécue».