Histoire Jessica Endoctrinement à l'école
Le 24 mars 2019
Cher sympathisant,
Le mois dernier, nous avons lancé une nouvelle pétition pour contrer une tendance à laquelle un nombre croissant de conseils scolaires au Canada semblent se conformer, ordonnant à chaque école de leur district d'arborer le drapeau de la « fierté » homosexuelle pour le mois de juin.
Cela comprend les écoles primaires dans certains districts.
Campaign Life Coalition a par la suite été contactée par la mère d'une étudiante chrétienne qui a raconté comment sa fille avait été négativement affectée par l'activisme homosexuel de son école l'été dernier.
Sa fille, que nous appellerons Jessica, était alors en Grade 8 [secondaire 2] dans une école publique de la région du Grand Toronto qui a été obligée par le conseil scolaire de arborer le drapeau gai pendant tout le mois de juin.
Jessica se sentait effrayée et stressée d'être forcée de participer à une cérémonie obligatoire de levée du drapeau
de la fierté gaie qui contredisait ses croyances chrétiennes.
Plus de 1 000 élèves et enseignants ont été contraints d'y participer.
La mère a envoyé à Campaign Life Coalition un témoignage écrit par Jessica, décrivant comment la cérémonie de lever du drapeau homosexuel s'est déroulée, comme une séance d'endoctrinement, et combien elle a été traumatisée.
De Jessica, élève de Grade 8 :
J'ai été surprise d'apprendre qu'il allait y avoir une cérémonie à la grandeur de l'école pour le lever du drapeau de la fierté (gaie).
J'étais persuadé qu'ils seraient au moins un peu flexibles en ce qui concerne la participation
pour ceux qui ne voulaient pas y aller à cause de préoccupations religieuses ou autres. Je me trompais.
J'ai demandé à l'enseignante qui supervisait ma classe à l'époque si nous devions y aller et elle a répondu que c'était « obligatoire ». Elle ne m'a même pas permis d'expliquer pourquoi je ne voulais pas y aller.
On nous a amenés à la cérémonie à l'avant de l'école en tant que classe. Je me sentais mal à l'aise car je n'étais pas sûr de ce que la cérémonie impliquerait ou de ce qu'on pourrait me demander de faire.
Je n'aimais pas non plus que ma présence [en ce lieu] me donne l'impression de soutenir quelque chose qui va à l'encontre de ma foi.
Il y avait quelques orateurs avant le lever du drapeau.
Quand est venu le temps de lever le drapeau de la fierté (gaie) on nous a dit de nous lever pour cela.
J'ai paniqué un peu. Je savais que le fait d'être debout signifiait que je soutenais ça, ou du moins, que je cachais ce que je croyais vraiment.
Mais si je restais assise, je pouvais être montrée du doigt. J'avais peur que les gens pensassent que j'étais homophobe.
Bien que je ne célèbre pas l'homosexualité, je ne traiterais en aucun cas différemment une personne homosexuelle.
Les gens peuvent vivre leur vie comme ils le veulent.¹
Mais je ne pouvais pas l'expliquer à tout le monde de mon école,
alors il y aurait sûrement des gens pour penser négativement de moi si je ne me tenais pas debout.
De plus, une de mes amies proches était l'orateur principal de cette partie de la cérémonie et un membre principal du club LGBTQ+ de notre école. J'avais peur que son opinion envers moi ne change et qu'elle se sente personnellement insultée
que je ne me tienne pas debout pendant sa part de la cérémonie.
J'ai décidé que ça ne valait pas la peine de violer ma foi pour l'opinion que les gens ont de moi. Je ne me suis pas tenue debout.
Mais tous les autres l'ont fait. Certains de mes amis me signifiaient : « Qu'est-ce que tu fais ? » C'était dur.
À la fin de la cérémonie, l'école a fait joué un chant aux paroles ouvertement irrespectueuses, insultant la Bible et le christianisme. C'était effrayant.
J'espère ne plus jamais me retrouver dans une telle situation. Mais j'en doute.
Imaginez le courage de cet étudiante.
Auriez-vous pu tenir à vos convictions et rester assis comme Jessica, si vous aviez été à sa place ?
A seulement 14 ans, elle m'a inspirée.
Je la félicite, elle et ses parents, pour la volonté de Jessica de subir le ridicule, l'intimidation et la persécution pour sa foi.
[...]
D'ailleurs, la chanson anti-chrétienne et antibible que l'école a fait jouée était Same Love de Mackelmore,
qui est une ode controversée au « mariage » homosexuel.
Lisez les paroles ici pour savoir ce que l'école a jugé approprié pour forcer chaque enfant et chaque enseignant de l'école à écouter.
Comment peut-on nier qu'il s'agissait d'un endoctrinement idéologique de l'État, dans le dos des parents ?
Nous devons arrêter ce lavage de cerveau.
Notre pétition, qui a maintenant recueilli près de 6 000 signatures, demande aux commissaires des écoles publiques d'interdire le port du drapeau de la fierté gaie et d'instituer une politique selon laquelle seul le drapeau canadien² peut flotter sur le terrain des écoles.
Si vous ne l'avez pas déjà fait, nous vous invitons à signer notre pétition maintenant. Et ensuite, répandez-la. Aidez-nous à la rendre virale.
Alors que les parents se préparent pour les prochaines batailles de drapeaux homosexuels qui se dérouleront au Canada en juin, commençons à contrattaquer maintenant, pendant que nous avons encore le temps d'influer sur les politiques [...]
Veillons à ce qu'il n'y ait plus d'élèves placés dans des situations effrayantes et humiliantes comme celles que Jessica a dû subir.
Merci, et que Dieu vous bénisse,
Jeff Gunnarson
Président national
Campaign Life Coalition
Cher sympathisant,
Le mois dernier, nous avons lancé une nouvelle pétition pour contrer une tendance à laquelle un nombre croissant de conseils scolaires au Canada semblent se conformer, ordonnant à chaque école de leur district d'arborer le drapeau de la « fierté » homosexuelle pour le mois de juin.
Cela comprend les écoles primaires dans certains districts.
Campaign Life Coalition a par la suite été contactée par la mère d'une étudiante chrétienne qui a raconté comment sa fille avait été négativement affectée par l'activisme homosexuel de son école l'été dernier.
Sa fille, que nous appellerons Jessica, était alors en Grade 8 [secondaire 2] dans une école publique de la région du Grand Toronto qui a été obligée par le conseil scolaire de arborer le drapeau gai pendant tout le mois de juin.
Jessica se sentait effrayée et stressée d'être forcée de participer à une cérémonie obligatoire de levée du drapeau
de la fierté gaie qui contredisait ses croyances chrétiennes.
Plus de 1 000 élèves et enseignants ont été contraints d'y participer.
La mère a envoyé à Campaign Life Coalition un témoignage écrit par Jessica, décrivant comment la cérémonie de lever du drapeau homosexuel s'est déroulée, comme une séance d'endoctrinement, et combien elle a été traumatisée.
De Jessica, élève de Grade 8 :
J'ai été surprise d'apprendre qu'il allait y avoir une cérémonie à la grandeur de l'école pour le lever du drapeau de la fierté (gaie).
J'étais persuadé qu'ils seraient au moins un peu flexibles en ce qui concerne la participation
pour ceux qui ne voulaient pas y aller à cause de préoccupations religieuses ou autres. Je me trompais.
J'ai demandé à l'enseignante qui supervisait ma classe à l'époque si nous devions y aller et elle a répondu que c'était « obligatoire ». Elle ne m'a même pas permis d'expliquer pourquoi je ne voulais pas y aller.
On nous a amenés à la cérémonie à l'avant de l'école en tant que classe. Je me sentais mal à l'aise car je n'étais pas sûr de ce que la cérémonie impliquerait ou de ce qu'on pourrait me demander de faire.
Je n'aimais pas non plus que ma présence [en ce lieu] me donne l'impression de soutenir quelque chose qui va à l'encontre de ma foi.
Il y avait quelques orateurs avant le lever du drapeau.
Quand est venu le temps de lever le drapeau de la fierté (gaie) on nous a dit de nous lever pour cela.
J'ai paniqué un peu. Je savais que le fait d'être debout signifiait que je soutenais ça, ou du moins, que je cachais ce que je croyais vraiment.
Mais si je restais assise, je pouvais être montrée du doigt. J'avais peur que les gens pensassent que j'étais homophobe.
Bien que je ne célèbre pas l'homosexualité, je ne traiterais en aucun cas différemment une personne homosexuelle.
Les gens peuvent vivre leur vie comme ils le veulent.¹
Mais je ne pouvais pas l'expliquer à tout le monde de mon école,
alors il y aurait sûrement des gens pour penser négativement de moi si je ne me tenais pas debout.
De plus, une de mes amies proches était l'orateur principal de cette partie de la cérémonie et un membre principal du club LGBTQ+ de notre école. J'avais peur que son opinion envers moi ne change et qu'elle se sente personnellement insultée
que je ne me tienne pas debout pendant sa part de la cérémonie.
J'ai décidé que ça ne valait pas la peine de violer ma foi pour l'opinion que les gens ont de moi. Je ne me suis pas tenue debout.
Mais tous les autres l'ont fait. Certains de mes amis me signifiaient : « Qu'est-ce que tu fais ? » C'était dur.
À la fin de la cérémonie, l'école a fait joué un chant aux paroles ouvertement irrespectueuses, insultant la Bible et le christianisme. C'était effrayant.
J'espère ne plus jamais me retrouver dans une telle situation. Mais j'en doute.
Imaginez le courage de cet étudiante.
Auriez-vous pu tenir à vos convictions et rester assis comme Jessica, si vous aviez été à sa place ?
A seulement 14 ans, elle m'a inspirée.
Je la félicite, elle et ses parents, pour la volonté de Jessica de subir le ridicule, l'intimidation et la persécution pour sa foi.
[...]
D'ailleurs, la chanson anti-chrétienne et antibible que l'école a fait jouée était Same Love de Mackelmore,
qui est une ode controversée au « mariage » homosexuel.
Lisez les paroles ici pour savoir ce que l'école a jugé approprié pour forcer chaque enfant et chaque enseignant de l'école à écouter.
Comment peut-on nier qu'il s'agissait d'un endoctrinement idéologique de l'État, dans le dos des parents ?
Nous devons arrêter ce lavage de cerveau.
Notre pétition, qui a maintenant recueilli près de 6 000 signatures, demande aux commissaires des écoles publiques d'interdire le port du drapeau de la fierté gaie et d'instituer une politique selon laquelle seul le drapeau canadien² peut flotter sur le terrain des écoles.
Si vous ne l'avez pas déjà fait, nous vous invitons à signer notre pétition maintenant. Et ensuite, répandez-la. Aidez-nous à la rendre virale.
Alors que les parents se préparent pour les prochaines batailles de drapeaux homosexuels qui se dérouleront au Canada en juin, commençons à contrattaquer maintenant, pendant que nous avons encore le temps d'influer sur les politiques [...]
Veillons à ce qu'il n'y ait plus d'élèves placés dans des situations effrayantes et humiliantes comme celles que Jessica a dû subir.
Merci, et que Dieu vous bénisse,
Jeff Gunnarson
Président national
Campaign Life Coalition