La Commission de l’ONU sur la condition féminine ignore les bienfaits du mariage
WASHINGTON, D.C., le 24 mars (C-Fam) Lors des négociations à l’ONU, en particulier à la Commission de la condition de la femme qui vient de s’achever, les efforts visant à inclure un langage pro-mariage et pro-famille dans les résolutions se heurtent à une opposition croissante. Des activistes se réclamant du féminisme soutiennent que la famille serait une structure qui entretient l’injustice à l’égard des femmes et des filles. Cependant, une nouvelle étude ajoute à l’abondance des preuves montrant que le mariage est en réalité bénéfique
pour la santé et le bien-être des femmes.
Des chercheurs ont suivi près de 12 000 infirmières américaines, toutes célibataires à l’origine de l’étude, pendant près de 25 ans. Leur travail, publié dans Global Epidemiology, a révélé que les femmes mariées présentaient un risque plus faible de maladies cardiovasculaires, qui est la principale cause de décès chez les femmes aux États-Unis. Les femmes mariées étaient également plus heureuses, plus optimistes et moins susceptibles de souffrir de dépression et de solitude que celles qui ne se mariaient pas.
Même si le divorce correspond à de plus mauvais résultats que le fait de rester mariées, les femmes mariées, y compris celles qui ont ensuite divorcé, avaient un risque de décès inférieur de 35% sur la période de l’étude comparées à celles qui n’avaient jamais été mariées.
Les auteurs de l’étude, qui ont publié une synthèse de leurs découvertes dans un article du Wall Street Journal, ont remarqué que même si leur analyse se concentre exclusivement sur les femmes, il existe de nombreux indices montrant que le mariage présente des avantages encore plus marqués pour la santé des hommes, étant également associé à une plus grande espérance de vie.
Partout dans le monde, le mariage est en déclin et la simple cohabitation ou la maternité hors mariage sont devenues plus courantes. Même s’il y a des différences régionales et nationales, la tendance générale est à la réduction du nombre de mariages et à des mariages plus tardifs.
Ceux qui critiquent le mariage et la famille en tant qu’institutions, à l’ONU et ailleurs, ont raison de souligner que la violence et la maltraitance peuvent se produire au sein de la famille et ont des effets dévastateurs sur les victimes. Cependant, les solutions qu’ils proposent, avec la redéfinition de « la famille » en y incluant pratiquement toutes les formes de couples et d’union de personnes ou encore le démantèlement de toutes les structures traditionnelles prétendues « patriarcales », ignorent un corpus croissant de données des sciences sociales.
Les documents essentiels de l’ONU, y compris la Déclaration universelle des droits de l’homme, se réfèrent à la famille comme « l’élément naturel et fondamental de la société » – une formulation devenue maintenant fortement controversée dans les résolutions négociées, où les gouvernements progressistes insistent sur des formes différentes et diverses d’existence de la famille.
Les structures familiales sont importantes, en particulier pour l’éducation des enfants, comme l’a montré le professeur Mark Regnerus de l’Université du Texas dans ses études novatrices sur des échantillons de grande taille. Les enfants s’en sortent mieux lorsqu’ils sont élevés par leurs parents biologiques mariés.
La nouvelle étude sur le mariage, rédigée par le chercheur de Harvard Ying Chen et ses assistants, montre que les bienfaits du mariage ne font pas aux dépens des femmes, mais qu’elles en sont également bénéficiaires.
Les auteurs reconnaissent que la population d’infirmières étudiée est relativement stable financièrement et dispose d’un bon niveau d’éducation, ce qui justifie une interprétation prudente. Néanmoins, il convient de noter que les femmes vivant dans un pays riche qui bénéficient de nombreux avantages de « l’émancipation » telle que la définissent les objectifs de l’ONU, comme l’éducation et l’emploi, peuvent observer une amélioration de leur santé et de leur bien-être en se mariant (et en restant mariées).
pour la santé et le bien-être des femmes.
Des chercheurs ont suivi près de 12 000 infirmières américaines, toutes célibataires à l’origine de l’étude, pendant près de 25 ans. Leur travail, publié dans Global Epidemiology, a révélé que les femmes mariées présentaient un risque plus faible de maladies cardiovasculaires, qui est la principale cause de décès chez les femmes aux États-Unis. Les femmes mariées étaient également plus heureuses, plus optimistes et moins susceptibles de souffrir de dépression et de solitude que celles qui ne se mariaient pas.
Même si le divorce correspond à de plus mauvais résultats que le fait de rester mariées, les femmes mariées, y compris celles qui ont ensuite divorcé, avaient un risque de décès inférieur de 35% sur la période de l’étude comparées à celles qui n’avaient jamais été mariées.
Les auteurs de l’étude, qui ont publié une synthèse de leurs découvertes dans un article du Wall Street Journal, ont remarqué que même si leur analyse se concentre exclusivement sur les femmes, il existe de nombreux indices montrant que le mariage présente des avantages encore plus marqués pour la santé des hommes, étant également associé à une plus grande espérance de vie.
Partout dans le monde, le mariage est en déclin et la simple cohabitation ou la maternité hors mariage sont devenues plus courantes. Même s’il y a des différences régionales et nationales, la tendance générale est à la réduction du nombre de mariages et à des mariages plus tardifs.
Ceux qui critiquent le mariage et la famille en tant qu’institutions, à l’ONU et ailleurs, ont raison de souligner que la violence et la maltraitance peuvent se produire au sein de la famille et ont des effets dévastateurs sur les victimes. Cependant, les solutions qu’ils proposent, avec la redéfinition de « la famille » en y incluant pratiquement toutes les formes de couples et d’union de personnes ou encore le démantèlement de toutes les structures traditionnelles prétendues « patriarcales », ignorent un corpus croissant de données des sciences sociales.
Les documents essentiels de l’ONU, y compris la Déclaration universelle des droits de l’homme, se réfèrent à la famille comme « l’élément naturel et fondamental de la société » – une formulation devenue maintenant fortement controversée dans les résolutions négociées, où les gouvernements progressistes insistent sur des formes différentes et diverses d’existence de la famille.
Les structures familiales sont importantes, en particulier pour l’éducation des enfants, comme l’a montré le professeur Mark Regnerus de l’Université du Texas dans ses études novatrices sur des échantillons de grande taille. Les enfants s’en sortent mieux lorsqu’ils sont élevés par leurs parents biologiques mariés.
La nouvelle étude sur le mariage, rédigée par le chercheur de Harvard Ying Chen et ses assistants, montre que les bienfaits du mariage ne font pas aux dépens des femmes, mais qu’elles en sont également bénéficiaires.
Les auteurs reconnaissent que la population d’infirmières étudiée est relativement stable financièrement et dispose d’un bon niveau d’éducation, ce qui justifie une interprétation prudente. Néanmoins, il convient de noter que les femmes vivant dans un pays riche qui bénéficient de nombreux avantages de « l’émancipation » telle que la définissent les objectifs de l’ONU, comme l’éducation et l’emploi, peuvent observer une amélioration de leur santé et de leur bien-être en se mariant (et en restant mariées).