La menace de Justin Trudeau
sur les mouvements pro-vie
Le gouvernement de Justin Trudeau a publié mardi une charte pour les plateformes numériques, devant servir de base à la répression des publications à caractère haineux et véhiculant des fausses nouvelles. Le problème consiste en ce que c’est le gouvernement Trudeau qui émet une telle charte, un gouvernement pro-avortement, avec à sa tête un Premier ministre ardemment dévoué à cette « cause ». Or, du côté des partisans de l’avortement on considère souvent (à tort) que les pro-vie répandent des fausses nouvelles haineuses, alors que c’est plutôt l’inverse qui est vrai
Mais, quel moyen les pro-vie emploieront-ils si les plateformes comme Facebook et Twitter se mettent à les censurer systématiquement ?
Le gouvernement libéral du premier ministre Justin Trudeau a dévoilé mardi une charte numérique qui promet de surveiller et de punir
les plateformes de médias sociaux qui véhiculent de la haine et des « fausses nouvelles » en ligne.
Trudeau a d'abord annoncé la charte la semaine dernière lors de la conférence Viva Technology à Paris, déclarant que les plates-formes sociales « décevaient leurs utilisateurs, » et devaient « se mobiliser de manière majeure pour contrer la désinformation » ou bien faire face à «
des conséquences financières significatives », rapporte Reuters.
Pendant son séjour à Paris, Trudeau a également signé l' « Appel de Christchurch » dans lequel les gouvernements et les PDG d'entreprises technologiques se sont engagés « à prendre des mesures contre le terrorisme violent et les contenus extrémistes en ligne », selon Reuters.
Le nom fait référence à l'attentat terroriste perpétré à Christchurch, en Nouvelle-Zélande, au cours duquel un tireur solitaire a tué 51 personnes dans deux mosquées, diffusant en direct le massacre sur Facebook.
Le Premier ministre a retweeté ses remarques faites à Paris mardi après que le ministre
de l'Innovation Navdeep Bains ait dévoilé la charte numérique en 10 points.
« Les plateformes de médias sociaux doivent être tenues responsables des discours haineux et de la désinformation que nous voyons en ligne ― et si elles n'interviennent pas, il y aura des conséquences. Nous avons lancé aujourd'hui la nouvelle Charte numérique du Canada pour guider nos décisions. Pour en savoir plus à ce sujet, : https://bit.ly/2YGiTuu ».
« Justin Trudeau lui-même crache constamment de la désinformation ― prétendant couramment que l'avortement est un droit légal, par exemple ― de sorte que les Canadiens devraient être très inquiets lorsqu'un gouvernement faillible annonce qu'il cherche à censurer le contenu en ligne, » a déclaré Jeff Gunnarson, président de la Campaign Life Coalition [...]
Nous avons de bonnes raisons de craindre que cette décision ait un impact négatif sur notre capacité à communiquer la position pro-vie et pro-famille, souvent qualifiée sans fondement de « haineuse », a-t-il déclaré à LifeSiteNews.
Mais, quel moyen les pro-vie emploieront-ils si les plateformes comme Facebook et Twitter se mettent à les censurer systématiquement ?
Le gouvernement libéral du premier ministre Justin Trudeau a dévoilé mardi une charte numérique qui promet de surveiller et de punir
les plateformes de médias sociaux qui véhiculent de la haine et des « fausses nouvelles » en ligne.
Trudeau a d'abord annoncé la charte la semaine dernière lors de la conférence Viva Technology à Paris, déclarant que les plates-formes sociales « décevaient leurs utilisateurs, » et devaient « se mobiliser de manière majeure pour contrer la désinformation » ou bien faire face à «
des conséquences financières significatives », rapporte Reuters.
Pendant son séjour à Paris, Trudeau a également signé l' « Appel de Christchurch » dans lequel les gouvernements et les PDG d'entreprises technologiques se sont engagés « à prendre des mesures contre le terrorisme violent et les contenus extrémistes en ligne », selon Reuters.
Le nom fait référence à l'attentat terroriste perpétré à Christchurch, en Nouvelle-Zélande, au cours duquel un tireur solitaire a tué 51 personnes dans deux mosquées, diffusant en direct le massacre sur Facebook.
Le Premier ministre a retweeté ses remarques faites à Paris mardi après que le ministre
de l'Innovation Navdeep Bains ait dévoilé la charte numérique en 10 points.
« Les plateformes de médias sociaux doivent être tenues responsables des discours haineux et de la désinformation que nous voyons en ligne ― et si elles n'interviennent pas, il y aura des conséquences. Nous avons lancé aujourd'hui la nouvelle Charte numérique du Canada pour guider nos décisions. Pour en savoir plus à ce sujet, : https://bit.ly/2YGiTuu ».
« Justin Trudeau lui-même crache constamment de la désinformation ― prétendant couramment que l'avortement est un droit légal, par exemple ― de sorte que les Canadiens devraient être très inquiets lorsqu'un gouvernement faillible annonce qu'il cherche à censurer le contenu en ligne, » a déclaré Jeff Gunnarson, président de la Campaign Life Coalition [...]
Nous avons de bonnes raisons de craindre que cette décision ait un impact négatif sur notre capacité à communiquer la position pro-vie et pro-famille, souvent qualifiée sans fondement de « haineuse », a-t-il déclaré à LifeSiteNews.