Le Québec annonce un plan de 7,5 millions de dollars pour promouvoir l’avortement et la contraception
Dans le cadre du « plan d’action » anti-vie du gouvernement du Québec, des mesures seront prises pour contrer la « désinformation » et élargir l’accès à la contraception et à l’avortement dans toute la province.
Le Québec a lancé un « plan d’action » de 7,5 millions de dollars pour accroître l’accès à l’avortement
et à la contraception dans toute la province.
Dans un communiqué de presse du 18 novembre, la ministre responsable de la Condition féminine du Québec, Martine Biron, a annoncé que la province dépenserait 7,5 millions de dollars de 2024 à 2027 pour élargir l’accès à l’avortement et à la contraception.
« Partout dans le monde, nous constatons des reculs en matière de droits des femmes. Une onde de choc s’est produite en 2022 avec l’annulation de Roe v. Wade. L’avortement est un soin de santé essentiel. Tout cela nous rappelle que nous ne pouvons rien tenir pour acquis, que nous devons toujours être vigilants dans la défense du libre choix des femmes », a affirmé Biron, affirmant directement que le meurtre d’un enfant à naître est un « droit » accordé aux femmes.
« En agissant sur l’accès à l’avortement, nous construisons une société plus juste, où les femmes peuvent choisir librement », a-t-elle ajouté, sans expliquer que les bébés tués par l’avortement n’ont pas le choix en la matière.
« La décision d’une femme de mener sa grossesse à terme ou non dépend entièrement d’elle », a ajouté la politicienne pro-avortement. « Au Québec, l’avortement est reconnu comme un soin de santé sécuritaire qui doit être accessible aux femmes qui font ce choix, peu importe la région où elles vivent. »
Dans le cadre du plan d’action gouvernemental, des mesures seront prises pour lutter contre la « désinformation » et élargir l’accès à l’avortement et à la contraception.
Le plan énonce quatre objectifs majeurs : « informer et sensibiliser la population au libre choix et lutter contre la désinformation », « améliorer l’accès aux services d’avortement pour les femmes qui en font la demande dans tout le pays », « faciliter l’accès à des informations et des services fiables et véridiques sur la contraception » et « recherche, suivi et consultations ».
Le communiqué de presse affirme que « la disponibilité d’informations fiables et véridiques garantit la liberté de choix des femmes ». Il convient de noter que si le communiqué prétend fournir des « informations véridiques », il ne mentionne pas les risques que l’avortement pose non seulement aux bébés, mais aussi aux femmes, en particulier lorsqu’il s’agit de la pilule abortive de plus en plus populaire.
Les recherches montrent que la pilule abortive peut être très dangereuse et même mortelle pour les femmes, avec au moins six pour cent de toutes les mères qui utilisent la pilule abortive nécessitant des soins dans une salle d’urgence ou un établissement de soins d’urgence.
La promotion de l’avortement au Québec survient quelques mois seulement après qu’une étude a révélé que plus d’un bébé avorté sur dix dans la province au deuxième trimestre naît vivant et meurt, et que 10 % vivent plus de trois heures.
Aussi décevante que soit l’annonce du Québec, la pression incessante de la province en faveur de l’avortement n’est guère surprenante compte tenu des autres lois en vigueur.
Récemment, la Campagne Québec-Vie, ou la Coalition Québec Vie, s’est adressée aux tribunaux pour contester une loi provinciale qui interdit les manifestations devant les cliniques d’avortement, affirmant que l’interdiction constitue une violation de leurs droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique.
et à la contraception dans toute la province.
Dans un communiqué de presse du 18 novembre, la ministre responsable de la Condition féminine du Québec, Martine Biron, a annoncé que la province dépenserait 7,5 millions de dollars de 2024 à 2027 pour élargir l’accès à l’avortement et à la contraception.
« Partout dans le monde, nous constatons des reculs en matière de droits des femmes. Une onde de choc s’est produite en 2022 avec l’annulation de Roe v. Wade. L’avortement est un soin de santé essentiel. Tout cela nous rappelle que nous ne pouvons rien tenir pour acquis, que nous devons toujours être vigilants dans la défense du libre choix des femmes », a affirmé Biron, affirmant directement que le meurtre d’un enfant à naître est un « droit » accordé aux femmes.
« En agissant sur l’accès à l’avortement, nous construisons une société plus juste, où les femmes peuvent choisir librement », a-t-elle ajouté, sans expliquer que les bébés tués par l’avortement n’ont pas le choix en la matière.
« La décision d’une femme de mener sa grossesse à terme ou non dépend entièrement d’elle », a ajouté la politicienne pro-avortement. « Au Québec, l’avortement est reconnu comme un soin de santé sécuritaire qui doit être accessible aux femmes qui font ce choix, peu importe la région où elles vivent. »
Dans le cadre du plan d’action gouvernemental, des mesures seront prises pour lutter contre la « désinformation » et élargir l’accès à l’avortement et à la contraception.
Le plan énonce quatre objectifs majeurs : « informer et sensibiliser la population au libre choix et lutter contre la désinformation », « améliorer l’accès aux services d’avortement pour les femmes qui en font la demande dans tout le pays », « faciliter l’accès à des informations et des services fiables et véridiques sur la contraception » et « recherche, suivi et consultations ».
Le communiqué de presse affirme que « la disponibilité d’informations fiables et véridiques garantit la liberté de choix des femmes ». Il convient de noter que si le communiqué prétend fournir des « informations véridiques », il ne mentionne pas les risques que l’avortement pose non seulement aux bébés, mais aussi aux femmes, en particulier lorsqu’il s’agit de la pilule abortive de plus en plus populaire.
Les recherches montrent que la pilule abortive peut être très dangereuse et même mortelle pour les femmes, avec au moins six pour cent de toutes les mères qui utilisent la pilule abortive nécessitant des soins dans une salle d’urgence ou un établissement de soins d’urgence.
La promotion de l’avortement au Québec survient quelques mois seulement après qu’une étude a révélé que plus d’un bébé avorté sur dix dans la province au deuxième trimestre naît vivant et meurt, et que 10 % vivent plus de trois heures.
Aussi décevante que soit l’annonce du Québec, la pression incessante de la province en faveur de l’avortement n’est guère surprenante compte tenu des autres lois en vigueur.
Récemment, la Campagne Québec-Vie, ou la Coalition Québec Vie, s’est adressée aux tribunaux pour contester une loi provinciale qui interdit les manifestations devant les cliniques d’avortement, affirmant que l’interdiction constitue une violation de leurs droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique.
