L’essor de l’euthanasie au Canada : de l’exceptionnel à la routine.
Alex Schadenberg
, Directeur exécutif, Coalition pour la prévention de l’euthanasie
Le Canada a enregistré environ 15 280 décès par euthanasie en 2023 (lien de l’article).
Je tiens à remercier Alexander Raikin pour son rapport de recherche sur l’essor de l’euthanasie au Canada, qui a été produit et publié par Cardus.
En l’espace d’une semaine, trois études exceptionnelles sur le programme d’euthanasie au Canada ont été publiées sous différents angles. J’espère que l’intérêt suscité par la loi canadienne sur l’euthanasie mènera à des changements et à un changement social vers le rejet du meurtre de personnes par empoisonnement mortel.
La première étude était une étude marquante de Chelsea Roff et Catherine Cook-Cottone sur la mort assistée et les troubles de l’alimentation. (Lien 2).
La deuxième était une étude du professeur Christopher Lyon qui posait la question suivante : la loi canadienne sur l’euthanasie permet-elle aux tueurs en série dans le domaine des soins de santé ?
Cette troisième étude, réalisée par Alexander Raikin, examine le changement d’attitude à l’égard de l’euthanasie au Canada sous le titre : L’essor de l’euthanasie.
L’essor de l’euthanasie au Canada : de l’exceptionnel à la routine.
Alexandre Raikin
Les points clés de Raikin sont les suivants :
En commentant le projet de loi C-7 qui a élargi la loi canadienne sur l’euthanasie en 2021, M. Raikin a déclaré :
Contrairement aux attentes antérieures, les demandes d’AMM ne seraient accordées qu’à dans de rares circonstances, le Canada est maintenant bien au-delà des limites attendu ou recommandé. À peine quatre ans après l’arrêt Carter de la Cour suprême, un juge de la Cour supérieure du Québec a statué dans l’affaire Truchon c. Canada que le programme d’aide médicale à mourir du Canada était inconstitutionnel parce qu’il n’avait pas permettre l’aide à mourir pour les personnes qui ne sont pas en fin de vie. Bien que des dizaines de groupes de défense des droits des personnes handicapées aient exhorté le ministre de l' Le juge et procureur général David Lametti interjette appel de la décision, Le ministre Lametti a choisi de ne pas le faire. Au lieu de cela, pour se conformer au juge du tribunal inférieur, le gouvernement a présenté le projet de loi C-7, qui est entré en vigueur en 2021.
Le projet de loi C-7 est allé bien au-delà de la décision imposée par les tribunaux dans l’affaire Truchon, sans parler de la décision de la Cour suprême dans l’affaire Carter. Existant les garde-fous ont été affaiblis. La période minimale d’évaluation de dix jours pour L’AMM a été entièrement supprimée, ce qui a permis une évaluation le jour même et l’aide à mourir pour presque toutes les demandes d’AMM. Le l’obligation pour le patient de donner son consentement final avant l’administration du L’aide médicale à mourir n’était plus obligatoire. De plus, l’AMM est devenue accessible aux les personnes dont le décès n’est plus « raisonnablement prévisible », mais qui : considèrent que leurs souffrances physiques, dues à un handicap par exemple, leur est intolérable. Dans un amendement surprise de dernière minute au projet de loi C-7 le Sénat, l’AMM a été élargie davantage, sans qu’aucune autre mesures de sauvegarde, afin d’inclure la maladie mentale parmi les affections admissibles. Ceci devait entrer en vigueur en mars 2023, mais a depuis été reporté à 2027.
Raikin examine l’issue de la loi en se fondant sur l’arrêt Carter de la Cour suprême du Canada. Il a écrit :
L’intention initiale des mesures de protection de l’AMM était de s’assurer que : demandes seraient examinées avec soin plutôt que simplement estampillé en caoutchouc. Dans l’arrêt Carter, le juge du procès a cité à deux reprises que seulement une demande explicite de suicide assisté sur dix dans l’Oregon s’est terminée par l’aide médicale à mourir comme preuve des délibérations méticuleuses les médecins prendraient si l’aide à mourir était légalisée au Canada. 28 Il s’agissait également d’un argument clé dans la décision de la Cour suprême. 29 Pourtant, en 2022, plus de 81 % de toutes les demandes explicites d’AMM se sont terminées par décès dû à l’AMM. Une raison notable de cette mortalité sans précédent l’aide médicale à mourir est que le pourcentage de demandes d’AMM qui est au Canada est faible et a continué de diminuer chaque année. Selon les données fédérales, 8 % du total des demandes écrites d’AMM en 2019 ont été jugés inadmissibles. En 2020, le pourcentage était de 6,1 %, En 2021, il était de 4,1 % et en 2022, il était de 3,5 %
M. Raikin compare ensuite le régime d’euthanasie du Canada à celui d’autres pays qui ont légalisé l’aide à l’assassinat.
Alors que le taux d’aide à mourir augmente généralement chez chaque qui légalise, le taux d’augmentation au Canada a été inhabituel. La Californie, dont la population est semblable à celle du Canada, a légalisé l’aide médicale à mourir la même année que le Canada. À partir de 2022, la Californie n’a toujours pas atteint le taux d’aide à la mort qui s’est produit en Le Canada en est à la première année de la légalisation.
Les Pays-Bas sont le seul pays où le taux d’aide à mourir est inférieur à comparable à celle du Canada. Il a été le premier pays à décriminaliser l’euthanasie en 1981 et la légaliser officiellement en 2002. En 2013, trente-deux ans après l’entrée en vigueur de la décriminalisation, le pourcentage du total des décès a dépassé les 3 % bar. Le Canada a franchi le seuil des 3 % seulement six ans plus tard légalisation. Aucune administration n’offre de programme d’aide à mourir autre que Le Canada et les Pays-Bas ont franchi le seuil des 3 %. Dans le septième année après sa légalisation, le Canada a franchi la barre des 4 %.
Raikin écrit sur l’incohérence dans la déclaration des décès par euthanasie et sur le fait que la surveillance de l’euthanasie a été au mieux minimale. Le Canada utilise un système d’autodéclaration pour l’euthanasie qui permet aux fournisseurs d’euthanasie de dissimuler les décès controversés. Raikin écrit :
De plus, les mécanismes de communication des données n’incluent aucune entrée de bénéficiaires de l’AMM avant leur décès, ni de professionnels de la santé autrement impliqué dans l’évaluation ou la prestation. Au lieu de cela, tous les Le signalement est une auto-déclaration, enregistrée et soumise par les mêmes personnes qui évaluent et administrent l’aide médicale à mourir. Les mêmes personnes qui pourraient faire face à des les répercussions du non-respect rigoureux des exemptions pénales le suicide assisté et l’homicide en vertu des lois fédérales du Canada qui régissent L’AMM sont les seuls à déclarer s’ils ont respecté la règlement.
Raikin conclut sa recherche en affirmant que la loi canadienne sur l’euthanasie est passée de circonstances exceptionnelles à des circonstances courantes. Il déclare :
Pourtant, comme le démontrent les données dont il est question dans le présent document, l’AMM chez les Le Canada n’est plus inhabituel ou rare. Prédictions fédérales concernant le la fréquence prévue de l’AMM ont considérablement sous-estimé les chiffres des Canadiens qui meurent de cette façon. Plus troublantes, au lieu de les médecins qui agissent à titre de « gardiens réticents » de l’aide médicale à mourir, comme le avocats du plaignant dans Carter a envisagé, ils comparaissent très favorable aux demandes d’AMM, comme le montrent les données disponibles sur le temps écoulé entre l’évaluation et la prestation, le pourcentage d’AMM demandes refusées et la prévalence même des occurrences.
Internationalement Le Canada fait de plus en plus figure d’exception, car c’est l’État qui connaît la croissance la plus rapide au monde et se dirige vers une libéralisation accrue de la critères d’éligibilité. Il est difficile de comprendre comment le gouvernement du Canada continue d’affirmer que le taux d’AMM au Canada est similaire aux taux dans d’autres juridictions. Comprendre cette croissance est essentiel pour évaluer l’utilisation et l’abus possible de l’AMM, en particulier à la lumière d’élargir à l’avenir les critères d’admissibilité.
Pour les décideurs politiques et au public de bien comprendre la réalité canadienne et d’y répondre ; Il est essentiel que les organismes gouvernementaux recueillent des données cohérentes et Émettez des déclarations correctes.
M. Raikin a expliqué comment la loi canadienne sur l’euthanasie a été vendue aux Canadiens en « dernier recours », mais qu’en fait, elle est devenue routinière et faussement étiquetée comme un « médicament ».
, Directeur exécutif, Coalition pour la prévention de l’euthanasie
Le Canada a enregistré environ 15 280 décès par euthanasie en 2023 (lien de l’article).
Je tiens à remercier Alexander Raikin pour son rapport de recherche sur l’essor de l’euthanasie au Canada, qui a été produit et publié par Cardus.
En l’espace d’une semaine, trois études exceptionnelles sur le programme d’euthanasie au Canada ont été publiées sous différents angles. J’espère que l’intérêt suscité par la loi canadienne sur l’euthanasie mènera à des changements et à un changement social vers le rejet du meurtre de personnes par empoisonnement mortel.
La première étude était une étude marquante de Chelsea Roff et Catherine Cook-Cottone sur la mort assistée et les troubles de l’alimentation. (Lien 2).
La deuxième était une étude du professeur Christopher Lyon qui posait la question suivante : la loi canadienne sur l’euthanasie permet-elle aux tueurs en série dans le domaine des soins de santé ?
Cette troisième étude, réalisée par Alexander Raikin, examine le changement d’attitude à l’égard de l’euthanasie au Canada sous le titre : L’essor de l’euthanasie.
L’essor de l’euthanasie au Canada : de l’exceptionnel à la routine.
Alexandre Raikin
Les points clés de Raikin sont les suivants :
- Le nombre de Canadiens décès prématurés par « l’aide médicale à mourir » (AMM) a augmenté treize fois depuis la légalisation. En 2016, le nombre de personnes décédées en cette voie était de 1 018. En 2022, dernière année pour laquelle des données sont disponibles, Il s’agissait de 13 241.
- L’aide médicale à mourir au Canada est le programme d’aide à mourir qui connaît la croissance la plus rapide au monde.
- Servante est maintenant à égalité avec les maladies cérébrovasculaires en tant que cinquième cause de décès au Canada. Seuls les décès dus au cancer, aux maladies cardiaques, à la COVID-19 et le nombre d’accidents dépasse le nombre de décès attribuables à l’aide médicale à mourir.
- Aide à mourir n’était pas destiné à devenir une façon routinière de mourir. Les décisions de justice soulignées qu’il s’agisse d’un « système de exceptions. Jody, ministre de la Justice et procureure générale de l’époque Mme Wilson-Raybould a abondé dans le même sens : « Nous ne voulons pas promouvoir la mort prématurée comme une solution à toutes les souffrances médicales. L’Association médicale canadienne a également déclaré que l’aide médicale à mourir était destinée à de rares situations.
- Servante Les évaluateurs et les fournisseurs ne le traitent pas comme un dernier recours. Le le pourcentage de demandes d’AMM refusées continue de diminuer (actuellement, il est de 3,5 %). Les demandes d’AMM peuvent être évaluées et fourni en une seule journée.
- Ministères et organismes gouvernementaux continuer d’affirmer que l’expérience du Canada en matière d’aide médicale à mourir est semblable à celle de d’autres administrations, que le taux d’augmentation est prévu et que le La croissance est progressive. Les données contredisent ces affirmations.
- Santé Le Canada a considérablement sous-estimé l’état d’équilibre de l’AMM et à quelle vitesse le Canada atteindrait la limite de 4 % seuil du nombre total de décès. Ce seuil a été atteint en 2022, onze des années plus tôt que ce que Santé Canada avait prédit quelques mois plus tôt ; le double de sa prédiction quatre ans plus tôt.
- Malgré le l’importance d’avoir des statistiques de l’état civil exactes et les registres de décès de certaines provinces n’enregistrez pas l’AMM comme cause de décès, mais plutôt l' affection qui a mené à la demande d’AMM et au décès subséquent. Plus loin Santé Canada rend compte du nombre de décès attribuables à l’aide médicale à mourir, mais les statistiques Le Canada ne considère pas l’AMM comme une cause de décès. Ces incohérences dans ont une incidence sur la recherche sur l’AMM et sur les causes de l' la mort plus généralement.
- La sous-estimation systématique de l’AMM chez les déclarations et rapports du gouvernement constituent un obstacle sérieux à la comprendre l’ampleur de la normalisation de l’AMM au Canada et à l’égard d’autres pays où une certaine forme de la mort est autorisée.
- Pour que les décideurs politiques et le public la réalité canadienne, il est essentiel que le gouvernement Les agences collectent des données cohérentes et publient des déclarations correctes.
En commentant le projet de loi C-7 qui a élargi la loi canadienne sur l’euthanasie en 2021, M. Raikin a déclaré :
Contrairement aux attentes antérieures, les demandes d’AMM ne seraient accordées qu’à dans de rares circonstances, le Canada est maintenant bien au-delà des limites attendu ou recommandé. À peine quatre ans après l’arrêt Carter de la Cour suprême, un juge de la Cour supérieure du Québec a statué dans l’affaire Truchon c. Canada que le programme d’aide médicale à mourir du Canada était inconstitutionnel parce qu’il n’avait pas permettre l’aide à mourir pour les personnes qui ne sont pas en fin de vie. Bien que des dizaines de groupes de défense des droits des personnes handicapées aient exhorté le ministre de l' Le juge et procureur général David Lametti interjette appel de la décision, Le ministre Lametti a choisi de ne pas le faire. Au lieu de cela, pour se conformer au juge du tribunal inférieur, le gouvernement a présenté le projet de loi C-7, qui est entré en vigueur en 2021.
Le projet de loi C-7 est allé bien au-delà de la décision imposée par les tribunaux dans l’affaire Truchon, sans parler de la décision de la Cour suprême dans l’affaire Carter. Existant les garde-fous ont été affaiblis. La période minimale d’évaluation de dix jours pour L’AMM a été entièrement supprimée, ce qui a permis une évaluation le jour même et l’aide à mourir pour presque toutes les demandes d’AMM. Le l’obligation pour le patient de donner son consentement final avant l’administration du L’aide médicale à mourir n’était plus obligatoire. De plus, l’AMM est devenue accessible aux les personnes dont le décès n’est plus « raisonnablement prévisible », mais qui : considèrent que leurs souffrances physiques, dues à un handicap par exemple, leur est intolérable. Dans un amendement surprise de dernière minute au projet de loi C-7 le Sénat, l’AMM a été élargie davantage, sans qu’aucune autre mesures de sauvegarde, afin d’inclure la maladie mentale parmi les affections admissibles. Ceci devait entrer en vigueur en mars 2023, mais a depuis été reporté à 2027.
Raikin examine l’issue de la loi en se fondant sur l’arrêt Carter de la Cour suprême du Canada. Il a écrit :
L’intention initiale des mesures de protection de l’AMM était de s’assurer que : demandes seraient examinées avec soin plutôt que simplement estampillé en caoutchouc. Dans l’arrêt Carter, le juge du procès a cité à deux reprises que seulement une demande explicite de suicide assisté sur dix dans l’Oregon s’est terminée par l’aide médicale à mourir comme preuve des délibérations méticuleuses les médecins prendraient si l’aide à mourir était légalisée au Canada. 28 Il s’agissait également d’un argument clé dans la décision de la Cour suprême. 29 Pourtant, en 2022, plus de 81 % de toutes les demandes explicites d’AMM se sont terminées par décès dû à l’AMM. Une raison notable de cette mortalité sans précédent l’aide médicale à mourir est que le pourcentage de demandes d’AMM qui est au Canada est faible et a continué de diminuer chaque année. Selon les données fédérales, 8 % du total des demandes écrites d’AMM en 2019 ont été jugés inadmissibles. En 2020, le pourcentage était de 6,1 %, En 2021, il était de 4,1 % et en 2022, il était de 3,5 %
M. Raikin compare ensuite le régime d’euthanasie du Canada à celui d’autres pays qui ont légalisé l’aide à l’assassinat.
Alors que le taux d’aide à mourir augmente généralement chez chaque qui légalise, le taux d’augmentation au Canada a été inhabituel. La Californie, dont la population est semblable à celle du Canada, a légalisé l’aide médicale à mourir la même année que le Canada. À partir de 2022, la Californie n’a toujours pas atteint le taux d’aide à la mort qui s’est produit en Le Canada en est à la première année de la légalisation.
Les Pays-Bas sont le seul pays où le taux d’aide à mourir est inférieur à comparable à celle du Canada. Il a été le premier pays à décriminaliser l’euthanasie en 1981 et la légaliser officiellement en 2002. En 2013, trente-deux ans après l’entrée en vigueur de la décriminalisation, le pourcentage du total des décès a dépassé les 3 % bar. Le Canada a franchi le seuil des 3 % seulement six ans plus tard légalisation. Aucune administration n’offre de programme d’aide à mourir autre que Le Canada et les Pays-Bas ont franchi le seuil des 3 %. Dans le septième année après sa légalisation, le Canada a franchi la barre des 4 %.
Raikin écrit sur l’incohérence dans la déclaration des décès par euthanasie et sur le fait que la surveillance de l’euthanasie a été au mieux minimale. Le Canada utilise un système d’autodéclaration pour l’euthanasie qui permet aux fournisseurs d’euthanasie de dissimuler les décès controversés. Raikin écrit :
De plus, les mécanismes de communication des données n’incluent aucune entrée de bénéficiaires de l’AMM avant leur décès, ni de professionnels de la santé autrement impliqué dans l’évaluation ou la prestation. Au lieu de cela, tous les Le signalement est une auto-déclaration, enregistrée et soumise par les mêmes personnes qui évaluent et administrent l’aide médicale à mourir. Les mêmes personnes qui pourraient faire face à des les répercussions du non-respect rigoureux des exemptions pénales le suicide assisté et l’homicide en vertu des lois fédérales du Canada qui régissent L’AMM sont les seuls à déclarer s’ils ont respecté la règlement.
Raikin conclut sa recherche en affirmant que la loi canadienne sur l’euthanasie est passée de circonstances exceptionnelles à des circonstances courantes. Il déclare :
Pourtant, comme le démontrent les données dont il est question dans le présent document, l’AMM chez les Le Canada n’est plus inhabituel ou rare. Prédictions fédérales concernant le la fréquence prévue de l’AMM ont considérablement sous-estimé les chiffres des Canadiens qui meurent de cette façon. Plus troublantes, au lieu de les médecins qui agissent à titre de « gardiens réticents » de l’aide médicale à mourir, comme le avocats du plaignant dans Carter a envisagé, ils comparaissent très favorable aux demandes d’AMM, comme le montrent les données disponibles sur le temps écoulé entre l’évaluation et la prestation, le pourcentage d’AMM demandes refusées et la prévalence même des occurrences.
Internationalement Le Canada fait de plus en plus figure d’exception, car c’est l’État qui connaît la croissance la plus rapide au monde et se dirige vers une libéralisation accrue de la critères d’éligibilité. Il est difficile de comprendre comment le gouvernement du Canada continue d’affirmer que le taux d’AMM au Canada est similaire aux taux dans d’autres juridictions. Comprendre cette croissance est essentiel pour évaluer l’utilisation et l’abus possible de l’AMM, en particulier à la lumière d’élargir à l’avenir les critères d’admissibilité.
Pour les décideurs politiques et au public de bien comprendre la réalité canadienne et d’y répondre ; Il est essentiel que les organismes gouvernementaux recueillent des données cohérentes et Émettez des déclarations correctes.
M. Raikin a expliqué comment la loi canadienne sur l’euthanasie a été vendue aux Canadiens en « dernier recours », mais qu’en fait, elle est devenue routinière et faussement étiquetée comme un « médicament ».