Maltraitance envers les aînés:
une révision rapide de la loi réclamée
La Fédération de l’âge d’or du Québec (FADOQ) réclame une « révision rapide » de la Loi visant à lutter
contre la maltraitance envers les aînés, adoptée au printemps 2017.
Elle demande au gouvernement Legault d’y introduire des sanctions pénales contre les auteurs de mauvais traitements.
« Il faut absolument que les plaintes qui s’avèrent fondées se traduisent par des sanctions. La loi doit mettre fin à l’omerta qui sévit dans les milieux de la santé et des services sociaux », soutient la présidente du Réseau FADOQ, Gisèle Tassé-Goodman.
L’organisme est « préoccupé » par les révélations de La Presse voulant que 866 cas de maltraitance aient été dénoncés l’an dernier.
Néanmoins, il est « encouragé par le fait que l’application de la loi ait incité un nombre grandissant de personnes à formuler
des plaintes pour dénoncer des situations inadmissibles ».
De son côté, la commissaire aux plaintes du CISSS de la Montérégie-Centre précise que si elle a obtenu le plus de dénonciations au Québec, cela peut s’expliquer en partie par le fait qu’elle a également sous sa responsabilité les résidences pour aînés
de ses homologues de la Montérégie-Ouest et de la Montérégie-Est.
contre la maltraitance envers les aînés, adoptée au printemps 2017.
Elle demande au gouvernement Legault d’y introduire des sanctions pénales contre les auteurs de mauvais traitements.
« Il faut absolument que les plaintes qui s’avèrent fondées se traduisent par des sanctions. La loi doit mettre fin à l’omerta qui sévit dans les milieux de la santé et des services sociaux », soutient la présidente du Réseau FADOQ, Gisèle Tassé-Goodman.
L’organisme est « préoccupé » par les révélations de La Presse voulant que 866 cas de maltraitance aient été dénoncés l’an dernier.
Néanmoins, il est « encouragé par le fait que l’application de la loi ait incité un nombre grandissant de personnes à formuler
des plaintes pour dénoncer des situations inadmissibles ».
De son côté, la commissaire aux plaintes du CISSS de la Montérégie-Centre précise que si elle a obtenu le plus de dénonciations au Québec, cela peut s’expliquer en partie par le fait qu’elle a également sous sa responsabilité les résidences pour aînés
de ses homologues de la Montérégie-Ouest et de la Montérégie-Est.