L’événement des Nations
Unies souligne l’importance
de la stabilité familiale
NEW YORK, 15 février (C-Fam) Les États membres et les organisations favorables à la famille ont organisé une table ronde sur l’importance de la stabilité de la famille au siège de l’ONU cette semaine.
«Les politiques visant à renforcer et à protéger la famille sont une question de vie ou de mort pour des centaines de millions de personnes dans le monde», a déclaré Austin Ruse, président du Centre pour la famille et les droits de l’homme, éditeur du Friday Fax, et modérateur de l’événement.
“La famille est la principale et parfois la seule source de protection sociale pour plus de soixante-dix pour cent des habitants de la planète”, a déclaré Ruse.
Andrei Dapkiunas, vice-ministre des Affaires étrangères du Bélarus, a appelé les gouvernements à élaborer des politiques qui promeuvent les valeurs familiales, le mariage, la paternité et la maternité.
L’ambassadeur de l’Égypte auprès de l’Organisation des Nations Unies, Mohamed Edrees, a déploré les tentatives de marginalisation de la famille aux Nations Unies.
«Il est très décevant de voir que des tentatives ont été faites pour retirer le thème de la famille de l’agenda des Nations Unies ou pour le diluer au profit d’autres questions controversées. Ces questions controversées n’ont aucune référence dans le droit international relatif aux droits de l’homme », a-t-il déclaré, faisant référence à l’agenda LGBT.
Annie Franklin, directrice des activités internationales de Family Watch International, a souligné à quel point la protection et le soutien de la famille sont requis par les traités internationaux les plus largement ratifiés.
Mark Regnerus, professeur de sociologie à l’Université du Texas à Austin, a présenté une étude sur les normes monogames concernant la famille. Cette étude montre comment elles se sont répandues depuis l’Europe à travers le monde en raison de leurs avantages comparatifs en termes de création de richesse et de bien-être.
«Les familles ne bénéficient pas seulement de la protection sociale, elles sont une protection sociale», a-t-il déclaré.
Il a également averti que les nouvelles générations échouaient à renouveler cette ressource de la protection sociale.
«Il est possible que nous vivions du crédit accumulé grâce aux mariages de nos grands-parents et de nos arrière-grands-parents», a-t-il déclaré.
Susan Yoshihara, première vice-présidente de la recherche au Centre pour la famille et les droits de l’homme, a déclaré que la famille était également essentielle à la stabilité internationale.
La famille est invitée à «prévenir et résoudre les conflits, créer des communautés résilientes et favoriser la réhabilitation après un conflit», a-t-elle expliqué.
Yoshihara a parlé de Nadja Murad, lauréate du prix Nobel de la paix, et de son récit de captivité par ISIS dans “The Last Girl”.
Yoshihara a également blamé le “long siège contre la formation des familles” en provenance du gouvernement américain et du secteur de l’avortement et de la planification familiale au sujet des menaces concernant la sécurité mondiale.
Celles-ci ont été instituées par John F. Kennedy afin de rendre le monde plus sûr et de protéger l’environnement. Selon Yoshihara, le monde est moins sûr en raison du déclin de la fécondité.
De nombreux pays ont des «fermé les fenêtre sur les possibilités d’utiliser de grandes armées». Leur population diminue et est devenue de ce fait agressive.
L’événement, intitulé «L’importance de la stabilité familiale pour la protection sociale et la réalisation du développement durable», était un événement parallèle de la Commission des Nations Unies pour le développement social et était organisé par les 25 États membres du Groupe des Amis de la Famille de l’ONU. La Société Civile pour la Famille (Civil Society for the Family), une coalition de plus de deux cent organisations qui promeuvent la famille dans les lois et les politiques internationales, a coparrainé l’événement. Cela peut être consulté sur le site Web de l’ONU.
«Les politiques visant à renforcer et à protéger la famille sont une question de vie ou de mort pour des centaines de millions de personnes dans le monde», a déclaré Austin Ruse, président du Centre pour la famille et les droits de l’homme, éditeur du Friday Fax, et modérateur de l’événement.
“La famille est la principale et parfois la seule source de protection sociale pour plus de soixante-dix pour cent des habitants de la planète”, a déclaré Ruse.
Andrei Dapkiunas, vice-ministre des Affaires étrangères du Bélarus, a appelé les gouvernements à élaborer des politiques qui promeuvent les valeurs familiales, le mariage, la paternité et la maternité.
L’ambassadeur de l’Égypte auprès de l’Organisation des Nations Unies, Mohamed Edrees, a déploré les tentatives de marginalisation de la famille aux Nations Unies.
«Il est très décevant de voir que des tentatives ont été faites pour retirer le thème de la famille de l’agenda des Nations Unies ou pour le diluer au profit d’autres questions controversées. Ces questions controversées n’ont aucune référence dans le droit international relatif aux droits de l’homme », a-t-il déclaré, faisant référence à l’agenda LGBT.
Annie Franklin, directrice des activités internationales de Family Watch International, a souligné à quel point la protection et le soutien de la famille sont requis par les traités internationaux les plus largement ratifiés.
Mark Regnerus, professeur de sociologie à l’Université du Texas à Austin, a présenté une étude sur les normes monogames concernant la famille. Cette étude montre comment elles se sont répandues depuis l’Europe à travers le monde en raison de leurs avantages comparatifs en termes de création de richesse et de bien-être.
«Les familles ne bénéficient pas seulement de la protection sociale, elles sont une protection sociale», a-t-il déclaré.
Il a également averti que les nouvelles générations échouaient à renouveler cette ressource de la protection sociale.
«Il est possible que nous vivions du crédit accumulé grâce aux mariages de nos grands-parents et de nos arrière-grands-parents», a-t-il déclaré.
Susan Yoshihara, première vice-présidente de la recherche au Centre pour la famille et les droits de l’homme, a déclaré que la famille était également essentielle à la stabilité internationale.
La famille est invitée à «prévenir et résoudre les conflits, créer des communautés résilientes et favoriser la réhabilitation après un conflit», a-t-elle expliqué.
Yoshihara a parlé de Nadja Murad, lauréate du prix Nobel de la paix, et de son récit de captivité par ISIS dans “The Last Girl”.
Yoshihara a également blamé le “long siège contre la formation des familles” en provenance du gouvernement américain et du secteur de l’avortement et de la planification familiale au sujet des menaces concernant la sécurité mondiale.
Celles-ci ont été instituées par John F. Kennedy afin de rendre le monde plus sûr et de protéger l’environnement. Selon Yoshihara, le monde est moins sûr en raison du déclin de la fécondité.
De nombreux pays ont des «fermé les fenêtre sur les possibilités d’utiliser de grandes armées». Leur population diminue et est devenue de ce fait agressive.
L’événement, intitulé «L’importance de la stabilité familiale pour la protection sociale et la réalisation du développement durable», était un événement parallèle de la Commission des Nations Unies pour le développement social et était organisé par les 25 États membres du Groupe des Amis de la Famille de l’ONU. La Société Civile pour la Famille (Civil Society for the Family), une coalition de plus de deux cent organisations qui promeuvent la famille dans les lois et les politiques internationales, a coparrainé l’événement. Cela peut être consulté sur le site Web de l’ONU.