Marche pour la vie 2019
créer des ponts et générer de l’espoir
Article écrit par Éric Lanthier
vice-président du conseil
d'administration d'Unit-T
vice-président du conseil
d'administration d'Unit-T
Récemment, Georges Buscemi, le président de l’organisme Campagne Québec vie m’a invité à intervenir lors de la marche pour la vie qui eut lieu, le 9 mai dernier devant le Parlement d’Ottawa. J’ai pu rencontrer le député Brad Trost, l’ex-député, James Lunney, que Luc Angers connait bien, ainsi que des personnalités publiques de divers horizons.
Foule enthousiasmée
C’est devant un peu plus de 20 000 personnes que j’ai ouvert officiellement l’événement par une prière bilingue. La foule a manifesté de l’enthousiasme lorsque j’ai prié que nous voulons un pays qui favorise le choix pour la vie! Chose surprenante, la foule était composée en grande partie de jeunes de 15 à 35 ans.
Brochette d’intervenants
Par la suite, nous avons entendu des députés, des cinéastes, un prêtre et Christian Lépine, l’archevêque de Montréal témoigner de leurs convictions en faveur de la vie. Un des moments les plus touchants, fut le témoignage d’une jeune femme de vingt-six qui racontait que sa fille est née d’un viol. Elle voulait la garder pour lui manifester qu’elle est aimée de sa mère. La foule a été soulevée par le discours d’Abby Johnson, une texane qui encourageait la foule à ne pas être gênée de s’afficher pour la vie de la conception à la mort naturelle.
En route vers le centre-ville
Après les chants et les discours, la foule s’est dirigée vers le centre-ville d’Ottawa pour entamer sa marche annuelle. Tout s’est déroulé dans le calme. J’ai eu le privilège de sillonner les rues d’Ottawa en compagnie de l’archevêque Lépine. J’étais particulièrement content de le revoir et de réinventer le monde avec lui.
Absence de débats
Cette expérience a été très enrichissante. Le seul inconvénient, c’est que l’événement n’a pas été couvert de manière significative par les médias traditionnels. Nous vivons dans une société qui évacue le débat sur une question aussi importante que le choix pour la vie.
Si au moins, nos politiciens ouvraient une commission spéciale pour voir comment le Canada pourrait mettre en place des mesures qui favoriseraient davantage de femmes à garder leur bébé, nous verrions de moins en moins de mamans avoir recours à cette solution de désespoir... Prions que cette commission voit le jour et que l’espoir d’enfanter renaisse au Québec!
Foule enthousiasmée
C’est devant un peu plus de 20 000 personnes que j’ai ouvert officiellement l’événement par une prière bilingue. La foule a manifesté de l’enthousiasme lorsque j’ai prié que nous voulons un pays qui favorise le choix pour la vie! Chose surprenante, la foule était composée en grande partie de jeunes de 15 à 35 ans.
Brochette d’intervenants
Par la suite, nous avons entendu des députés, des cinéastes, un prêtre et Christian Lépine, l’archevêque de Montréal témoigner de leurs convictions en faveur de la vie. Un des moments les plus touchants, fut le témoignage d’une jeune femme de vingt-six qui racontait que sa fille est née d’un viol. Elle voulait la garder pour lui manifester qu’elle est aimée de sa mère. La foule a été soulevée par le discours d’Abby Johnson, une texane qui encourageait la foule à ne pas être gênée de s’afficher pour la vie de la conception à la mort naturelle.
En route vers le centre-ville
Après les chants et les discours, la foule s’est dirigée vers le centre-ville d’Ottawa pour entamer sa marche annuelle. Tout s’est déroulé dans le calme. J’ai eu le privilège de sillonner les rues d’Ottawa en compagnie de l’archevêque Lépine. J’étais particulièrement content de le revoir et de réinventer le monde avec lui.
Absence de débats
Cette expérience a été très enrichissante. Le seul inconvénient, c’est que l’événement n’a pas été couvert de manière significative par les médias traditionnels. Nous vivons dans une société qui évacue le débat sur une question aussi importante que le choix pour la vie.
Si au moins, nos politiciens ouvraient une commission spéciale pour voir comment le Canada pourrait mettre en place des mesures qui favoriseraient davantage de femmes à garder leur bébé, nous verrions de moins en moins de mamans avoir recours à cette solution de désespoir... Prions que cette commission voit le jour et que l’espoir d’enfanter renaisse au Québec!