Projet de loi 40: Québec solidaire inquiet du sort réservé aux animateurs de vie spirituelle
Québec solidaire s’inquiète du sort réservé aux animateurs de vie spirituelle dans le projet de loi 40 du ministre Jean-François Roberge
sur la gouvernance scolaire.
S’il transforme les commissions scolaires en centres de service, le texte de loi caquiste raye également la mention
«spiritualité» de la Loi sur l’instruction publique.
Selon la Commission des droits de la personne et de la jeunesse (CDPDJ), ce geste «met en péril» les Services d’animation spirituelle et d’engagement communautaire, qui a remplacé la pastorale et l’animation religieuse dans les écoles publiques au début des années 2000.
sur la gouvernance scolaire.
S’il transforme les commissions scolaires en centres de service, le texte de loi caquiste raye également la mention
«spiritualité» de la Loi sur l’instruction publique.
Selon la Commission des droits de la personne et de la jeunesse (CDPDJ), ce geste «met en péril» les Services d’animation spirituelle et d’engagement communautaire, qui a remplacé la pastorale et l’animation religieuse dans les écoles publiques au début des années 2000.
Roberge rassurant
Au cabinet du ministre de l’Éducation, on assure que cette profession n’est pas en péril. «Elle sera ultérieurement redéfinie en des postes d’animateurs en développement personnel et à l’engagement communautaire via une modification au Régime pédagogique», a précisé son porte-parole.
Au cabinet du ministre de l’Éducation, on assure que cette profession n’est pas en péril. «Elle sera ultérieurement redéfinie en des postes d’animateurs en développement personnel et à l’engagement communautaire via une modification au Régime pédagogique», a précisé son porte-parole.