Le projet de loi sur les salles de bains
se dirige vers le Sénat
La campagne pour la reconnaissance de « l'identité de genre et de l'expression de genre » ouvrira une boîte de Pandore
Pendant des années, les activistes gais au Canada et aux États-Unis ont tenté de créer un faux droit à « l'identité de genre » et à « l'expression du genre ».
Le projet de loi C-279 a été adopté en troisième lecture à la Chambre des communes et est maintenant entre les mains du Sénat pour décider de son sort. S'il est également adopté par le Sénat, les lois canadiennes affirmeront et feront la promotion de la philosophie dangereuse selon laquelle un homme biologique peut être une femme, s'il ressent simplement cela dans son esprit. La loi enverra le message à tous dans la société que l'anatomie physique d'une personne n'est pas pertinente à savoir si vous êtes un garçon ou une fille.
Voici la définition radicale de l'identité de genre tirée du préambule du projet de loi C-279 : « L'identité degenre signifie, à l'égard d'une personne, l'expérience interne et individuelle profondément ressentie de l'individu en matière de genre, qui peut ou non correspondr avec le sexe que l'individu a été assigné à la naissance". C'est purement subjectif. Il s'agit d'une définition idéologique et non scientifique qui abolirait la compréhension de la société des hommes et des femmes, la transformant d'une réalité objective et physique, à une création de nos esprits qui peut changer d'un jour à l'autre.
Le projet de loi C-279 est-il anodin? Pas du tout. Les conséquences imprévues sont énormes.
Ses partisans ont qualifié cette loi d'«inoffensive» et de simple modification du Code des droits de la personne
pour s'assurer que les personnes sexistes sont protégées contre la «discrimination».
Un examen attentif de ce que signifie accorder un statut spécial aux groupes qui s'autodéfinissent par « expression de genre » et « identité de genre » révèle des implications qui sont de grande portée. Les politiciens, en adoptant le projet de loi C-279, auraient des conséquences imprévues qui porteraient gravement atteinte à la liberté d'expression, à la liberté de religion, à la sécurité personnelle des femmes et même aux personnes qui souffrent du problème psychologique connu sous le nom de genre. Trouble de l'identité (GID).
Cet article expliquera certaines des façons dont le projet de loi C-279 est dangereux.
Étude de cas: Evergreen College, Olympia, WA
Pendant des années, les activistes gais au Canada et aux États-Unis ont tenté de créer un faux droit à « l'identité de genre » et à « l'expression du genre ».
Le projet de loi C-279 a été adopté en troisième lecture à la Chambre des communes et est maintenant entre les mains du Sénat pour décider de son sort. S'il est également adopté par le Sénat, les lois canadiennes affirmeront et feront la promotion de la philosophie dangereuse selon laquelle un homme biologique peut être une femme, s'il ressent simplement cela dans son esprit. La loi enverra le message à tous dans la société que l'anatomie physique d'une personne n'est pas pertinente à savoir si vous êtes un garçon ou une fille.
Voici la définition radicale de l'identité de genre tirée du préambule du projet de loi C-279 : « L'identité degenre signifie, à l'égard d'une personne, l'expérience interne et individuelle profondément ressentie de l'individu en matière de genre, qui peut ou non correspondr avec le sexe que l'individu a été assigné à la naissance". C'est purement subjectif. Il s'agit d'une définition idéologique et non scientifique qui abolirait la compréhension de la société des hommes et des femmes, la transformant d'une réalité objective et physique, à une création de nos esprits qui peut changer d'un jour à l'autre.
Le projet de loi C-279 est-il anodin? Pas du tout. Les conséquences imprévues sont énormes.
Ses partisans ont qualifié cette loi d'«inoffensive» et de simple modification du Code des droits de la personne
pour s'assurer que les personnes sexistes sont protégées contre la «discrimination».
Un examen attentif de ce que signifie accorder un statut spécial aux groupes qui s'autodéfinissent par « expression de genre » et « identité de genre » révèle des implications qui sont de grande portée. Les politiciens, en adoptant le projet de loi C-279, auraient des conséquences imprévues qui porteraient gravement atteinte à la liberté d'expression, à la liberté de religion, à la sécurité personnelle des femmes et même aux personnes qui souffrent du problème psychologique connu sous le nom de genre. Trouble de l'identité (GID).
Cet article expliquera certaines des façons dont le projet de loi C-279 est dangereux.
Étude de cas: Evergreen College, Olympia, WA

L'État de Washington a une loi sur l'« identité de genre » semblable à celle proposée dans le projet de loi C-279. Nous avons récemment vu un exemple alarmant de la façon dont la loi de l'État sur l'« identité de genre » a entraîné une violation des droits à la vie privée et à la sécurité des jeunes filles. Evergreen College a décidé qu'il n'empêcherait pas un homme de 45 ans qui se présente comme une transgenre "femme" de se prélasser nu dans un vestiaire de femmes, dans une zone fréquentée par des filles dès l'âge de six ans. Des adolescentes d'une équipe de natation du secondaire, et même des filles plus jeunes, utilisaient les installations en septembre dernier lorsqu'elles ont vu "Colleen" Francis exposer les organes génitaux masculins à travers la vitre d'un sauna.
Sur la base de l'affirmation de l'homme selon laquelle, en vertu de la loi de l'État sur l'« identité de genre », il s'agirait en fait d'une « discrimination » contre lui pour l'empêcher de se rendre aux vestiaires, la police a refusé de poursuivre pour exposition à la pudeur. Au lieu de cela, la «solution» du collège était d'ordonner aux jeunes filles de changer derrière quelques rideaux. Lisez cette nouvelle ici.
Est-ce l'avenir que veulent les 150 députés qui ont voté en faveur de C-279 pour le Canada?
Ces lois sur la discrimination transgenre ont été surnommées « projets de loi de salle de bains » par les critiques et les législateurs concernés en raison de l'implication évidente de donner aux hommes qui prétendent être transgenres le « droit » d'accéder aux toilettes et aux vestiaires féminins. C'est ainsi que certains hommes confus et travestis voudront « exprimer » leur « genre intérieur ».
Les juges ou les tribunaux des droits de la personne finiront par lire cette interprétation même.
Il existe des preuves solides que l'ajout d'une « identité de genre » et/ou d'une « expression de genre » à la Loi sur les droits de la personne donnera aux hommes qui sont confus pour le sexe une base pour obtenir le droit légal d'utiliser des installations réservées aux femmes. Par exemple, en juin 2006, M. John Fulton, propriétaire du Downtown Health Club for women à St. Catharines, en Ontario, a reçu un appel téléphonique d'un homme qui demandait l'accès à l'adhésion. L'homme s'est avéré être un «transsexuel» qui n'avait pas encore subi la chirurgie de réaffectation sexuelle. Cet homme sexiste voulait un accès complet à la seule salle de sport pour femmes qui comprenait un accès 24 heures sur 24 aux douches, aux vestiaires et aux salles de bains. Lorsque M. Fulton a refusé, l'homme a déposé une contestation auprès du Tribunal des droits de la personne de l'Ontario.
La plaignante a perdu l'affaire en 2009. Toutefois, si le projet de loi C-279 est adopté par le Parlement, la même plainte en matière de droits de la personne aujourd'hui serait probablement accueillie. Le propriétaire de la salle de gym a payé d'énormes frais juridiques pour lutter contre le défi "par souci de la vie privée et ladignité de ses clientes". En revanche, le demandeur s'est fait payer ses factures juridiques par les deniers publics. [Source : Fondation constitutionnelle canadienne, « Communiqué de presse - Women's Gym won't be intimidated by Human Rights Commission », 20 avril 2009]
Des groupes pro-famille tels que Concerned Women of America ont averti que ces lois sur l'identité de genre augmenteront l'incidence déjà croissante des attaques aux toilettes contre les femmes par des prédateurs sexuels, qui compteront sur l'utilisation de la nouvelle loi comme alibi si elles se font prendre. Le gouvernement ne devrait pas risquer de faciliter l'évasion de la justice par les prédateurs sexuels et de récidiver un autre jour.
Sur la base de l'affirmation de l'homme selon laquelle, en vertu de la loi de l'État sur l'« identité de genre », il s'agirait en fait d'une « discrimination » contre lui pour l'empêcher de se rendre aux vestiaires, la police a refusé de poursuivre pour exposition à la pudeur. Au lieu de cela, la «solution» du collège était d'ordonner aux jeunes filles de changer derrière quelques rideaux. Lisez cette nouvelle ici.
Est-ce l'avenir que veulent les 150 députés qui ont voté en faveur de C-279 pour le Canada?
Ces lois sur la discrimination transgenre ont été surnommées « projets de loi de salle de bains » par les critiques et les législateurs concernés en raison de l'implication évidente de donner aux hommes qui prétendent être transgenres le « droit » d'accéder aux toilettes et aux vestiaires féminins. C'est ainsi que certains hommes confus et travestis voudront « exprimer » leur « genre intérieur ».
Les juges ou les tribunaux des droits de la personne finiront par lire cette interprétation même.
Il existe des preuves solides que l'ajout d'une « identité de genre » et/ou d'une « expression de genre » à la Loi sur les droits de la personne donnera aux hommes qui sont confus pour le sexe une base pour obtenir le droit légal d'utiliser des installations réservées aux femmes. Par exemple, en juin 2006, M. John Fulton, propriétaire du Downtown Health Club for women à St. Catharines, en Ontario, a reçu un appel téléphonique d'un homme qui demandait l'accès à l'adhésion. L'homme s'est avéré être un «transsexuel» qui n'avait pas encore subi la chirurgie de réaffectation sexuelle. Cet homme sexiste voulait un accès complet à la seule salle de sport pour femmes qui comprenait un accès 24 heures sur 24 aux douches, aux vestiaires et aux salles de bains. Lorsque M. Fulton a refusé, l'homme a déposé une contestation auprès du Tribunal des droits de la personne de l'Ontario.
La plaignante a perdu l'affaire en 2009. Toutefois, si le projet de loi C-279 est adopté par le Parlement, la même plainte en matière de droits de la personne aujourd'hui serait probablement accueillie. Le propriétaire de la salle de gym a payé d'énormes frais juridiques pour lutter contre le défi "par souci de la vie privée et ladignité de ses clientes". En revanche, le demandeur s'est fait payer ses factures juridiques par les deniers publics. [Source : Fondation constitutionnelle canadienne, « Communiqué de presse - Women's Gym won't be intimidated by Human Rights Commission », 20 avril 2009]
Des groupes pro-famille tels que Concerned Women of America ont averti que ces lois sur l'identité de genre augmenteront l'incidence déjà croissante des attaques aux toilettes contre les femmes par des prédateurs sexuels, qui compteront sur l'utilisation de la nouvelle loi comme alibi si elles se font prendre. Le gouvernement ne devrait pas risquer de faciliter l'évasion de la justice par les prédateurs sexuels et de récidiver un autre jour.

Pour être clair, nous ne disons pas que les personnes qui s'identifient comme «transgenres» sont des prédateurs sexuels. Au contraire, il y aura une possibilité légale accrue pour les prédateurs sexuels et les toms lorgnant qui prétendent être «transgenres», d'entrer dans les toilettes des femmes. Ces mécréants pourront échapper aux poursuites, s'ils sont arrêtés ou soupçonnés, en prétendant simplement qu'ils sont « transgenres » et qu'ils exercent simplement le droit d'« exprimer leur sexe féminin ».
Comment un policier peut-il savoir autrement?
Plusieurs femmes ont été tuées aux États-Unis dans des attaques aux toilettes, et de nombreux cas d'attaques ont également été signalés au Canada. Voulons-nous vraiment faciliter l'accès des prédateurs sexuels aux femmes vulnérables en prétendant être transgenres? Les parrains du NPD de ce projet de loi ont répondu à ces préoccupations en répondant que les attaques dans les toilettes ne se produisent jamais au Canada, et ce n'est que de la peur. vraiment? Voici seulement trois exemples d'attaques aux toilettes contre des femmes qui sont déjà beaucoup trop fréquentes au Canada :
Comment un policier peut-il savoir autrement?
Plusieurs femmes ont été tuées aux États-Unis dans des attaques aux toilettes, et de nombreux cas d'attaques ont également été signalés au Canada. Voulons-nous vraiment faciliter l'accès des prédateurs sexuels aux femmes vulnérables en prétendant être transgenres? Les parrains du NPD de ce projet de loi ont répondu à ces préoccupations en répondant que les attaques dans les toilettes ne se produisent jamais au Canada, et ce n'est que de la peur. vraiment? Voici seulement trois exemples d'attaques aux toilettes contre des femmes qui sont déjà beaucoup trop fréquentes au Canada :
- City News Toronto, 'Woman sexually assaulted in pizza store bathroom', 20 novembre 2012
- Ottawa Sun, 'Girl assaulted in high school bathroom', 31 mars 2010
- The Province, 'Peeping Tom spotted lurking in BCIT women's washroom', 29 septembre 2012

Si vous aviez une fille de 9 ans, que penseriez-vous d'un homme qui va dans la salle de bain après elle ? Comment cet enfant est-il censé discerner si l'homme dans la salle de bain avec elle est un violeur, un tom voyeur, ou simplement un innocent "transsexuel" qui se croit une femme piégée dans le corps d'un homme ?
Il est inadmissible pour les législateurs de mettre les enfants vulnérables et féminins dans une position aussi compromise.
Les législateurs retireront également ce drapeau rouge que toutes les jeunes filles ont naturellement quand un homme entre dans la salle de bain après eux, ou est déjà là quand elle entre. Si le Projet C-279 est adopté, cela rendra la présence d'« hommes transgenres » dans les toilettes des filles, et diminuera ainsi considérablement
cet avertissement protecteur qui existe actuellement chez nos enfants.
Il est inadmissible pour les législateurs de mettre les enfants vulnérables et féminins dans une position aussi compromise.
Les législateurs retireront également ce drapeau rouge que toutes les jeunes filles ont naturellement quand un homme entre dans la salle de bain après eux, ou est déjà là quand elle entre. Si le Projet C-279 est adopté, cela rendra la présence d'« hommes transgenres » dans les toilettes des filles, et diminuera ainsi considérablement
cet avertissement protecteur qui existe actuellement chez nos enfants.

Si le projet de loi Est adopté par le projet de loi, il deviendra impossible d'empêcher l'introduction de la théorie de la « fluidité entre les sexes » dans les programmes scolaires, même dès la maternelle. Le c-279 consacrera dans la loi l'idée qu'il y a plus d'un sexe (c.-à-d. un homme ou une femme) et que le sexe peut changer d'avant en arrière, ou être quelque part entre les deux, selon la façon dont une personne « se sent » à un moment donné. Le gouvernement aura, en substance, mis son sceau d'approbation sur cette idée. Ayant acquis une légitimité juridique et morale, cette philosophie bizarre s'insinuera alors dans les programmes scolaires
et les manuels scolaires élémentaires.
Des militants homosexuels font déjà pression pour que des livres et des leçons comme ceux-ci soient dans les écoles. Par exemple, l'image sur la bonne photo d'un guide du programme d'études de l'école primaire sur le transgenre lancé par le Toronto District School Board, qui encourage les enfants à se croiser. Si le projet de loi C-279 est adopté, ce programme d'études radical fera son chemin à travers le pays.
Est-ce ce que les législateurs veulent? Pour confondre les petits enfants sur s'ils sont vraiment un garçon ou une fille ? Il est pernicieux de planter dans l'esprit des enfants de cinq ans l'idée
que leur sexe peut effectivement être différent de leur réalité corporelle.
La redéfinition du mariage en 2005 a eu cet effet de contagion précis sur le système éducatif, malgré les promesses des mêmes militants homosexuels qui font maintenant pression sur le projet de loi C-279, qu'il n'y aurait rien de tel. Au cours de la bataille du mariage, des groupes pro-famille et des chefs religieux ont averti que l'assiduité des unions homosexuelles au mariage hétérosexuel entraînerait une pression sur le système éducatif pour normaliser et endoctriner les enfants pour qu'ils acceptent l'homosexualité, même contre la volonté des parents. À l'époque, les promoteurs du « mariage » gay ont nié qu'une telle chose se produirait. Ils ont affirmé que le projet de loi sur le mariage entre personnes de même sexe visait simplement à leur accorder l'accès à l'institution du mariage aux fins de l'héritage, etc. Pourtant, seulement 7 ans plus tard, les écoles canadiennes sont envahies par les leçons, les programmes d'études et les campagnes visant à normaliser l'homosexualité dans l'esprit des enfants. Le 6 juin 2012, le gouvernement libéral de l'Ontario a adopté le projet de loi 13 (Loi sur l'acceptation des écoles), une loi qui impose des clubs homosexuels-activistes à toutes les écoles financées par l'État (y compris les écoles catholiques) et qui insuffle des thèmes homosexuels dans le programme d'études.
La même chose se produira si l'on ajoute « identité de genre » et/ou « expression de genre » au Code canadien des droits de la personne. Le système éducatif sera soumis à des pressions pour enseigner ces idées à tous les enfants, le plus jeune possible, afin d'« éliminer les préjugés discriminatoires ». Les parents qui s'opposent seront étiquetés « transphobes ». Les enseignants qui s'opposent devront
choisir entre violer leur propre conscience ou être congédiés.
À leur insu, les députés fédéraux encourageraient l'endoctrinement en classe d'une idéologie controversée s'ils votaient en faveur du projet de loi C-279.
et les manuels scolaires élémentaires.
Des militants homosexuels font déjà pression pour que des livres et des leçons comme ceux-ci soient dans les écoles. Par exemple, l'image sur la bonne photo d'un guide du programme d'études de l'école primaire sur le transgenre lancé par le Toronto District School Board, qui encourage les enfants à se croiser. Si le projet de loi C-279 est adopté, ce programme d'études radical fera son chemin à travers le pays.
Est-ce ce que les législateurs veulent? Pour confondre les petits enfants sur s'ils sont vraiment un garçon ou une fille ? Il est pernicieux de planter dans l'esprit des enfants de cinq ans l'idée
que leur sexe peut effectivement être différent de leur réalité corporelle.
La redéfinition du mariage en 2005 a eu cet effet de contagion précis sur le système éducatif, malgré les promesses des mêmes militants homosexuels qui font maintenant pression sur le projet de loi C-279, qu'il n'y aurait rien de tel. Au cours de la bataille du mariage, des groupes pro-famille et des chefs religieux ont averti que l'assiduité des unions homosexuelles au mariage hétérosexuel entraînerait une pression sur le système éducatif pour normaliser et endoctriner les enfants pour qu'ils acceptent l'homosexualité, même contre la volonté des parents. À l'époque, les promoteurs du « mariage » gay ont nié qu'une telle chose se produirait. Ils ont affirmé que le projet de loi sur le mariage entre personnes de même sexe visait simplement à leur accorder l'accès à l'institution du mariage aux fins de l'héritage, etc. Pourtant, seulement 7 ans plus tard, les écoles canadiennes sont envahies par les leçons, les programmes d'études et les campagnes visant à normaliser l'homosexualité dans l'esprit des enfants. Le 6 juin 2012, le gouvernement libéral de l'Ontario a adopté le projet de loi 13 (Loi sur l'acceptation des écoles), une loi qui impose des clubs homosexuels-activistes à toutes les écoles financées par l'État (y compris les écoles catholiques) et qui insuffle des thèmes homosexuels dans le programme d'études.
La même chose se produira si l'on ajoute « identité de genre » et/ou « expression de genre » au Code canadien des droits de la personne. Le système éducatif sera soumis à des pressions pour enseigner ces idées à tous les enfants, le plus jeune possible, afin d'« éliminer les préjugés discriminatoires ». Les parents qui s'opposent seront étiquetés « transphobes ». Les enseignants qui s'opposent devront
choisir entre violer leur propre conscience ou être congédiés.
À leur insu, les députés fédéraux encourageraient l'endoctrinement en classe d'une idéologie controversée s'ils votaient en faveur du projet de loi C-279.

L'ajout des termes « identité de genre » et expression de genre à la Loi conduira à piétiner la liberté religieuse et les droits de conscience. Les militants qui poussent ce projet de loi ne sont pas intéressés à l'utiliser comme un « bouclier » protecteur. Au lieu de cela, ils l'utiliseront comme une « épée » pour cibler les entreprises chrétiennes et autres entreprises confessionnelles, les institutions religieuses et les organismes de bienfaisance pour avoir des croyances bibliques sur la sexualité humaine.
Cela va également susciter des problèmes pour les entreprises privées et même les institutions religieuses qui seront obligées par la loi de permettre à leurs employés de s'habiller dans le sexe opposé. Est-il au-delà de la pâleur d'imaginer un employé masculin d'un organisme de bienfaisance chrétien déposer une plainte en matière de droits de la personne pour
ne pas avoir été autorisé à se déguiser en femme au travail?
Il suffit de voir comment l'ajout de l'orientation sexuelle au Code canadien des droits de la personne en 1996 a par la suite été utilisé comme arme par les mêmes militants gais qui poussent maintenant le projet de loi C-279. Ils ont utilisé cet amendement du CDH pour traîner l'évêque de Calgary Fred Henry devant un tribunal des droits de la personne pour avoir écrit une lettre pastorale à sa propre congrégation, dans laquelle il avait simplement réaffirmé son enseignement de la foi catholique sur la sexualité humaine et le mariage. Des propriétaires d'entreprises chrétiennes et un enseignant ont également été persécutés avec des frais juridiques ruineux par des militants homosexuels qui les ont
amenés devant les tribunaux des droits de la personne.
Il est également clair (basé sur les mots des militants dans les blogs et les médias gays) qu'ils ont l'intention de venir après chrétien et d'autres personnes basées sur la foi questionneur d'un mode de vie nuisible. Quelques heures après l'adoption, le 13 juin, de la loi ontarienne sur l'identité de genre (projet de loi 33), un transactiviste a menacé LifeSiteNews, un service d'information pro-famille, d'une action en justice pour sa couverture antérieure du projet de loi, affirmant que la critique du projet de loi constituerait désormais un « crime haineux » en vertu de la nouvelle loi.
Les entreprises finiront par être forcées d'embaucher des personnes qui ne sont pas sexistes, et même de permettre aux hommes de traiter avec des clients habillés en femme, et vice versa. Cela pourrait faire perdre à l'entreprise des clients et des revenus, surtout lorsque les entreprises canadiennes peuvent avoir à envoyer des représentants aux États-Unis, ou d'autres pays pour rencontrer des clients.
Il s'agit vraiment d'un fardeau indu à imposer aux entreprises canadiennes.
Le gouvernement - y compris les militaires et la GRC - finira par être forcé d'embaucher des personnes et des travestis de genre, peut-être même pour les chercher activement pour répondre aux critères de « diversité de l'emploi ». Les agents des forces de police ou de l'armée auront-ils le privilège de se croiser et d'utiliser les toilettes du sexe opposé? Qu'en est-il de notre population carcérale - où finissent les détenus confus par sexe? Faudra-t-il fournir des prisons séparées ou des quartiers distincts? Les mêmes problèmes se poseront dans les milieux éducatifs, de l'école primaire aux universités et collèges (avec tout le coût potentiel de la rénovation ou de l'ajout de nouvelles salles de bains).
Des services de personnes monosexuelles ou des groupes sociaux, tels que le Lion's Club ou la Catholic Women's League, les scouts, les guides ou les équipes sportives de tous âges pourraient également être tenus d'autoriser les travestis du sexe opposé. Il s'agit d'un nouveau monde courageux que la plupart des Canadiens ne veulent pas, mais qui se réveillera un jour si les députés votent pour adopter le projet de loi C-279 en troisième lecture.
Ce projet de loi nuira en fait aux personnes qui luttent contre le trouble de l'identité sexuelle, une condition qui est énumérée dans le Manuel de diagnostic et de statistiques de l'American Psychological Association comme une maladie mentale.
Au lieu d'être encouragés à chercher un traitement psychologique pour leur état mental confus, la nouvelle loi leur dira de célébrer leur maladie mentale. Au lieu de guérir un esprit perturbé pour avoir une bonne compréhension de son corps, le gouvernement canadien encouragerait indirectement les gens à changer leur corps afin de correspondre à un esprit perturbé. Ce n'est pas de la compassion. C'est faire de la politique avec la vie des personnes vulnérables. Les statistiques montrent que ceux qui choisissent la chirurgie de changement de sexe ne sont pas plus heureux après la chirurgie, et en fait, ont un taux élevé de suicide. En tant que personnes compatissantes et aimantes, nous ne pouvons pas devenir des catalyseurs de la maladie mentale. C'est l'abandon, pas l'amour. Si nous voulons vraiment protéger les personnes qui ne sont
pas sexistes, nous devons voter contre ce projet de loi c.279 nuisible.
Pour étudier d'autres recherches sur les dommages dévastateurs, souvent mortels, causés par la chirurgie de réaffectation sexuelle, et pour lire les témoignages de personnes qui ont pris cette décision et maintenant le regretter, visitez ce site Web du ministère de soutien.
L'affirmation du GID dans le Code des droits de l'homme nuira davantage aux enfants et aux autres personnes qui luttent contre le trouble de l'identité sexuelle (GID) parce qu'ils auront encore plus de difficulté à obtenir un traitement de la part de psychologues qui osent aller à l'encontre de la rectitude politique. La profession psychologique a largement tourné le dos à la science dans ce domaine, et joue maintenant la politique sexuelle en disant aux enfants d'embrasser l'idée qu'ils sont vraiment «nés dans le mauvais corps», et ont besoin d'hormonothérapie et de chirurgie mutilative pour changer leur corps. Les psychologues et les thérapeutes de principe qui restent, se sentiront sous pression pour s'abstenir de donner la thérapie légitime pour aider à guérir l'esprit perturbé, de peur d'être étiquetés «transphobe», ou même de perdre leur licence professionnelle.
Cela va également susciter des problèmes pour les entreprises privées et même les institutions religieuses qui seront obligées par la loi de permettre à leurs employés de s'habiller dans le sexe opposé. Est-il au-delà de la pâleur d'imaginer un employé masculin d'un organisme de bienfaisance chrétien déposer une plainte en matière de droits de la personne pour
ne pas avoir été autorisé à se déguiser en femme au travail?
Il suffit de voir comment l'ajout de l'orientation sexuelle au Code canadien des droits de la personne en 1996 a par la suite été utilisé comme arme par les mêmes militants gais qui poussent maintenant le projet de loi C-279. Ils ont utilisé cet amendement du CDH pour traîner l'évêque de Calgary Fred Henry devant un tribunal des droits de la personne pour avoir écrit une lettre pastorale à sa propre congrégation, dans laquelle il avait simplement réaffirmé son enseignement de la foi catholique sur la sexualité humaine et le mariage. Des propriétaires d'entreprises chrétiennes et un enseignant ont également été persécutés avec des frais juridiques ruineux par des militants homosexuels qui les ont
amenés devant les tribunaux des droits de la personne.
Il est également clair (basé sur les mots des militants dans les blogs et les médias gays) qu'ils ont l'intention de venir après chrétien et d'autres personnes basées sur la foi questionneur d'un mode de vie nuisible. Quelques heures après l'adoption, le 13 juin, de la loi ontarienne sur l'identité de genre (projet de loi 33), un transactiviste a menacé LifeSiteNews, un service d'information pro-famille, d'une action en justice pour sa couverture antérieure du projet de loi, affirmant que la critique du projet de loi constituerait désormais un « crime haineux » en vertu de la nouvelle loi.
Les entreprises finiront par être forcées d'embaucher des personnes qui ne sont pas sexistes, et même de permettre aux hommes de traiter avec des clients habillés en femme, et vice versa. Cela pourrait faire perdre à l'entreprise des clients et des revenus, surtout lorsque les entreprises canadiennes peuvent avoir à envoyer des représentants aux États-Unis, ou d'autres pays pour rencontrer des clients.
Il s'agit vraiment d'un fardeau indu à imposer aux entreprises canadiennes.
Le gouvernement - y compris les militaires et la GRC - finira par être forcé d'embaucher des personnes et des travestis de genre, peut-être même pour les chercher activement pour répondre aux critères de « diversité de l'emploi ». Les agents des forces de police ou de l'armée auront-ils le privilège de se croiser et d'utiliser les toilettes du sexe opposé? Qu'en est-il de notre population carcérale - où finissent les détenus confus par sexe? Faudra-t-il fournir des prisons séparées ou des quartiers distincts? Les mêmes problèmes se poseront dans les milieux éducatifs, de l'école primaire aux universités et collèges (avec tout le coût potentiel de la rénovation ou de l'ajout de nouvelles salles de bains).
Des services de personnes monosexuelles ou des groupes sociaux, tels que le Lion's Club ou la Catholic Women's League, les scouts, les guides ou les équipes sportives de tous âges pourraient également être tenus d'autoriser les travestis du sexe opposé. Il s'agit d'un nouveau monde courageux que la plupart des Canadiens ne veulent pas, mais qui se réveillera un jour si les députés votent pour adopter le projet de loi C-279 en troisième lecture.
Ce projet de loi nuira en fait aux personnes qui luttent contre le trouble de l'identité sexuelle, une condition qui est énumérée dans le Manuel de diagnostic et de statistiques de l'American Psychological Association comme une maladie mentale.
Au lieu d'être encouragés à chercher un traitement psychologique pour leur état mental confus, la nouvelle loi leur dira de célébrer leur maladie mentale. Au lieu de guérir un esprit perturbé pour avoir une bonne compréhension de son corps, le gouvernement canadien encouragerait indirectement les gens à changer leur corps afin de correspondre à un esprit perturbé. Ce n'est pas de la compassion. C'est faire de la politique avec la vie des personnes vulnérables. Les statistiques montrent que ceux qui choisissent la chirurgie de changement de sexe ne sont pas plus heureux après la chirurgie, et en fait, ont un taux élevé de suicide. En tant que personnes compatissantes et aimantes, nous ne pouvons pas devenir des catalyseurs de la maladie mentale. C'est l'abandon, pas l'amour. Si nous voulons vraiment protéger les personnes qui ne sont
pas sexistes, nous devons voter contre ce projet de loi c.279 nuisible.
Pour étudier d'autres recherches sur les dommages dévastateurs, souvent mortels, causés par la chirurgie de réaffectation sexuelle, et pour lire les témoignages de personnes qui ont pris cette décision et maintenant le regretter, visitez ce site Web du ministère de soutien.
L'affirmation du GID dans le Code des droits de l'homme nuira davantage aux enfants et aux autres personnes qui luttent contre le trouble de l'identité sexuelle (GID) parce qu'ils auront encore plus de difficulté à obtenir un traitement de la part de psychologues qui osent aller à l'encontre de la rectitude politique. La profession psychologique a largement tourné le dos à la science dans ce domaine, et joue maintenant la politique sexuelle en disant aux enfants d'embrasser l'idée qu'ils sont vraiment «nés dans le mauvais corps», et ont besoin d'hormonothérapie et de chirurgie mutilative pour changer leur corps. Les psychologues et les thérapeutes de principe qui restent, se sentiront sous pression pour s'abstenir de donner la thérapie légitime pour aider à guérir l'esprit perturbé, de peur d'être étiquetés «transphobe», ou même de perdre leur licence professionnelle.

Il ne fait absolument aucun doute qu'après la modification du Code canadien des droits de la personne afin d'accorder des droits spéciaux aux personnes « transgenres » et « transsexuelles », les militants exigeront que la chirurgie du changement sexuel financée par les contribuables soit un « droit » qui leur est dû par le système de soins de santé. Les politiciens céderont, et les contribuables se retrouveront à débourser de 15 000 $ à 50 000 $ à la fois, pour coopérer avec la maladie mentale. Cette utilisation inappropriée de l'argent des contribuables se traduira malgré le fait que notre système de soins de santé est déjà insoutenable, a de graves pénuries de médecins, des temps d'attente excessifs à l'hôpital, refuse le traitement aux enfants autistes, a une pénurie de potentiellement des appareils d'IRM vitaux et un accès limité aux soins palliatifs.
Malheureusement, il semble être une répétition de la bataille de l'avortement. Après que Pierre Trudeau a présenté son projet de loi du gouvernement en 1967 pour légaliser l'avortement, il y a eu des débats qui ont eu lieu avant son adoption en 1969. Lors d'un débat le 6 juillet 1968, on a demandé au ministre de la Justice de Trudeau de l'époque, John Turner, si la légalisation de l'avortement entraînerait un jour à forcer les contribuables à le financer.
Il a insisté sur le fait que cela n'arriverait jamais. Aujourd'hui, presque tous les avortements au Canada sont financés par les contribuables.
conclusion
Il y a beaucoup d'autres ramifications, juridiques, économiques, sociales, éducatives et culturelles à l'adoption d'un projet de loi imparfait et largement inutile, appelé projet de loi C-279. Il s'avérerait coûteux, nuisible, contre-productif et déroutant. Elle menacerait également les libertés fondamentales tout en déconsidérant le Canada. Les Canadiens méritent mieux. Les personnes aux prises avec des problèmes d'identité sexuelle méritent mieux. Les femmes et les enfants du Canada méritent un environnement sûr, exempt de menaces peu recommandeuses rendues possibles par un effort malavisé visant à « améliorer les mesures d'égalité » dans le Code des droits de la personne.
Malheureusement, il semble être une répétition de la bataille de l'avortement. Après que Pierre Trudeau a présenté son projet de loi du gouvernement en 1967 pour légaliser l'avortement, il y a eu des débats qui ont eu lieu avant son adoption en 1969. Lors d'un débat le 6 juillet 1968, on a demandé au ministre de la Justice de Trudeau de l'époque, John Turner, si la légalisation de l'avortement entraînerait un jour à forcer les contribuables à le financer.
Il a insisté sur le fait que cela n'arriverait jamais. Aujourd'hui, presque tous les avortements au Canada sont financés par les contribuables.
conclusion
Il y a beaucoup d'autres ramifications, juridiques, économiques, sociales, éducatives et culturelles à l'adoption d'un projet de loi imparfait et largement inutile, appelé projet de loi C-279. Il s'avérerait coûteux, nuisible, contre-productif et déroutant. Elle menacerait également les libertés fondamentales tout en déconsidérant le Canada. Les Canadiens méritent mieux. Les personnes aux prises avec des problèmes d'identité sexuelle méritent mieux. Les femmes et les enfants du Canada méritent un environnement sûr, exempt de menaces peu recommandeuses rendues possibles par un effort malavisé visant à « améliorer les mesures d'égalité » dans le Code des droits de la personne.