Biden promeut la propagande
homosexuelle-trans
WASHINGTON, D.C., 16 juin (C-Fam) Le drapeau arc-en-ciel a été déployé depuis le balcon Truman de la Maison Blanche la semaine dernière pour marquer le « mois de la fierté LGBTQI + ». Le président Biden a déclaré que c’était un message au monde entier.
« Aujourd’hui, la Maison du Peuple – votre maison – envoie un message clair au pays et au monde. L’Amérique est une nation de fierté ! » a tweeté le président américain sur son compte Twitter officiel.
Le drapeau arc-en-ciel n’était qu’une des nombreuses actions symboliques et déclarations du gouvernement fédéral faisant la promotion des politiques homosexuelles et transgenres, y compris pour les enfants.
Lors de la réception à la Maison Blanche pour le « mois de la fierté » au cours de laquelle le drapeau arc-en-ciel a été dévoilé, Biden a promis de continuer à faire des questions homosexuelles et transgenres une priorité des efforts diplomatiques de son administration.
« (Nous) faisons des droits humains des personnes LGBTQ dans le monde entier – pas seulement ici, dans le monde entier – une priorité absolue de ma politique étrangère, ce qui inclut notamment un réexamen de notre accord avec l’Ouganda suite à sa récente loi anti-gay – la plus extrême au monde », a-t-il dit, faisant référence à une récente loi ougandaise qui pénalise sévèrement
la conduite et les revendications homosexuelles.
La proclamation présidentielle de Biden à l’occasion du mois de la fierté lesbienne, gay, bisexuelle, transgenre, queer et intersexuée a également mis en avant les actions du gouvernement fédéral pour promouvoir les questions homosexuelles et transgenres à l’étranger.
« Nous devons soutenir les militants LGBTQI+ du monde entier qui défendent les droits humains fondamentaux et les survivants LGBTQI+ de la violence fondée sur le genre », peut-on y lire.
La proclamation présidentielle a sévèrement critiqué les États américains qui ont interdit le traitement hormonal transgenre et les chirurgies de changement de sexe chez les mineurs. Elle mentionne qu’il y a plus de 600 « lois haineuses visant la communauté LGBTQI+ ».
« Les jeunes transgenres dans plus d’une douzaine d’États ont vu leurs soins de santé médicalement
nécessaires interdits », affirme la proclamation.
Elle accuse également les Américains pro-famille qui s’opposent à de tels traitements pour les enfants
d’avoir un discours de haine et d’intimidation.
« Le vitriol homophobe et transphobe vomi en ligne s’est répandu dans la vie réelle, alors que des groupes haineux armés intimident les gens lors des marches de la fierté et des spectacles drag, et menacent les cabinets de médecins et les hôpitaux pour enfants qui offrent des soins à la communauté LGBTQI+ », affirme la proclamation.
Les déclarations de la Maison Blanche ont été reprises par de hauts responsables de la politique étrangère de Biden.
Le Secrétaire d’Etat américain Anthony Blinken a publié une déclaration pour le mois de la fierté liant la défense des homosexuels et des transgenres à la démocratie.
« Nous nous opposons fermement à « l’altérisation » des personnes LGBTQI+ pour justifier les prises de pouvoir autoritaires et les attaques contre les institutions démocratiques à l’échelle mondiale. Les démocraties sont plus fortes quand elles célèbrent les pleins droits et la valeur de toutes les personnes, sans discrimination », a déclaré Blinken.
Samantha Power a déclaré que c’était « un honneur » de faire flotter le drapeau arc-en-ciel devant le siège
de l’USAID dans un communiqué publié sur Twitter.
« Le drapeau représente notre engagement inébranlable envers l’inclusion #LGBTQI+, aussi bien au sein de notre agence que dans nos efforts de développement partout dans le monde. Joyeux #PrideMonth ! » dit son tweet. L’USAID a publié sa toute première politique de développement LGBTQI+ en mars.
L’ambassadeur des États-Unis auprès des Nations Unies, Linda Thomas-Greenfield, a promis de continuer de travailler à la promotion des questions homosexuelles et transgenres dans une résolution de l’ONU sur la démocratie parrainée par les États-Unis lors d’une réception organisée par la Mission des États-Unis auprès des Nations Unies.
« Tous, nous devons repousser chaque attaque contre les personnes LGBTI, toutes les violations des droits humains », a-t-elle déclaré, se référant expressément aux actions de Poutine, de l’Ouganda et des talibans visant à restreindre les
revendications homosexuelles et transgenres.
Le gouvernement des États-Unis promeut l’idée que toute loi qui limite les revendications homosexuelles et transgenres
peut être considérée comme un crime contre l’humanité.
« Aujourd’hui, la Maison du Peuple – votre maison – envoie un message clair au pays et au monde. L’Amérique est une nation de fierté ! » a tweeté le président américain sur son compte Twitter officiel.
Le drapeau arc-en-ciel n’était qu’une des nombreuses actions symboliques et déclarations du gouvernement fédéral faisant la promotion des politiques homosexuelles et transgenres, y compris pour les enfants.
Lors de la réception à la Maison Blanche pour le « mois de la fierté » au cours de laquelle le drapeau arc-en-ciel a été dévoilé, Biden a promis de continuer à faire des questions homosexuelles et transgenres une priorité des efforts diplomatiques de son administration.
« (Nous) faisons des droits humains des personnes LGBTQ dans le monde entier – pas seulement ici, dans le monde entier – une priorité absolue de ma politique étrangère, ce qui inclut notamment un réexamen de notre accord avec l’Ouganda suite à sa récente loi anti-gay – la plus extrême au monde », a-t-il dit, faisant référence à une récente loi ougandaise qui pénalise sévèrement
la conduite et les revendications homosexuelles.
La proclamation présidentielle de Biden à l’occasion du mois de la fierté lesbienne, gay, bisexuelle, transgenre, queer et intersexuée a également mis en avant les actions du gouvernement fédéral pour promouvoir les questions homosexuelles et transgenres à l’étranger.
« Nous devons soutenir les militants LGBTQI+ du monde entier qui défendent les droits humains fondamentaux et les survivants LGBTQI+ de la violence fondée sur le genre », peut-on y lire.
La proclamation présidentielle a sévèrement critiqué les États américains qui ont interdit le traitement hormonal transgenre et les chirurgies de changement de sexe chez les mineurs. Elle mentionne qu’il y a plus de 600 « lois haineuses visant la communauté LGBTQI+ ».
« Les jeunes transgenres dans plus d’une douzaine d’États ont vu leurs soins de santé médicalement
nécessaires interdits », affirme la proclamation.
Elle accuse également les Américains pro-famille qui s’opposent à de tels traitements pour les enfants
d’avoir un discours de haine et d’intimidation.
« Le vitriol homophobe et transphobe vomi en ligne s’est répandu dans la vie réelle, alors que des groupes haineux armés intimident les gens lors des marches de la fierté et des spectacles drag, et menacent les cabinets de médecins et les hôpitaux pour enfants qui offrent des soins à la communauté LGBTQI+ », affirme la proclamation.
Les déclarations de la Maison Blanche ont été reprises par de hauts responsables de la politique étrangère de Biden.
Le Secrétaire d’Etat américain Anthony Blinken a publié une déclaration pour le mois de la fierté liant la défense des homosexuels et des transgenres à la démocratie.
« Nous nous opposons fermement à « l’altérisation » des personnes LGBTQI+ pour justifier les prises de pouvoir autoritaires et les attaques contre les institutions démocratiques à l’échelle mondiale. Les démocraties sont plus fortes quand elles célèbrent les pleins droits et la valeur de toutes les personnes, sans discrimination », a déclaré Blinken.
Samantha Power a déclaré que c’était « un honneur » de faire flotter le drapeau arc-en-ciel devant le siège
de l’USAID dans un communiqué publié sur Twitter.
« Le drapeau représente notre engagement inébranlable envers l’inclusion #LGBTQI+, aussi bien au sein de notre agence que dans nos efforts de développement partout dans le monde. Joyeux #PrideMonth ! » dit son tweet. L’USAID a publié sa toute première politique de développement LGBTQI+ en mars.
L’ambassadeur des États-Unis auprès des Nations Unies, Linda Thomas-Greenfield, a promis de continuer de travailler à la promotion des questions homosexuelles et transgenres dans une résolution de l’ONU sur la démocratie parrainée par les États-Unis lors d’une réception organisée par la Mission des États-Unis auprès des Nations Unies.
« Tous, nous devons repousser chaque attaque contre les personnes LGBTI, toutes les violations des droits humains », a-t-elle déclaré, se référant expressément aux actions de Poutine, de l’Ouganda et des talibans visant à restreindre les
revendications homosexuelles et transgenres.
Le gouvernement des États-Unis promeut l’idée que toute loi qui limite les revendications homosexuelles et transgenres
peut être considérée comme un crime contre l’humanité.