Un refuge pour femmes menacé
parce qu'il n'accepte pas les trans
Le Vancouver Rape Relief & Women's Shelter ne recevra plus de financement de la ville de Vancouver.
L'administration de Vancouver a décidé de couper les vivres à un refuge pour femmes victimes de viol parce qu'il refuse d'accepter la clientèle transgenre. Pour les responsables du Vancouver Rape Relief & Women's Shelter, seules les personnes nées femmes peuvent être admises au refuge, une position que Vancouver juge discriminatoire.
La ville évoque à ce titre une loi provinciale adoptée en 2016 et une autre fédérale de 2017 qui interdisent toute discrimination basée sur l'identité de genre. Ces textes juridiques, jumelés à un lobbying intense des transactivistes, aura donc fait plier Vancouver. Car pour ces transactivistes extrémistes, un vagin ne représente plus un symbole uniquement féminin, de même qu'un pénis n'est plus l'apanage des hommes.
Peu importe, le Vancouver Rape Relief & Women's Shelter n'a pas l'intention de changer son fusil d'épaule. « La tentative du conseil municipal de Vancouver de saper notre autonomie en tant que groupe de femmes [...] porte [...] atteinte aux protections que la loi nous a accordées. Une telle conduite n'a pas sa place dans une société démocratique », est-il écrit sur le site du refuge.
Les groupes de pression transgenres ont pris du galon ces dernières années et de nombreuses institutions les ont appuyés sans réserve. C'est le cas du système carcéral du Canada qui accepte maintenant les hommes transgenres dans les prisons pour femmes.
La ville évoque à ce titre une loi provinciale adoptée en 2016 et une autre fédérale de 2017 qui interdisent toute discrimination basée sur l'identité de genre. Ces textes juridiques, jumelés à un lobbying intense des transactivistes, aura donc fait plier Vancouver. Car pour ces transactivistes extrémistes, un vagin ne représente plus un symbole uniquement féminin, de même qu'un pénis n'est plus l'apanage des hommes.
Peu importe, le Vancouver Rape Relief & Women's Shelter n'a pas l'intention de changer son fusil d'épaule. « La tentative du conseil municipal de Vancouver de saper notre autonomie en tant que groupe de femmes [...] porte [...] atteinte aux protections que la loi nous a accordées. Une telle conduite n'a pas sa place dans une société démocratique », est-il écrit sur le site du refuge.
Les groupes de pression transgenres ont pris du galon ces dernières années et de nombreuses institutions les ont appuyés sans réserve. C'est le cas du système carcéral du Canada qui accepte maintenant les hommes transgenres dans les prisons pour femmes.