L’association SOS Éducation,
lanceur d’alerte sur le wokisme à l’école, écope d’une amende d’environ 1,6 million d’euros
de l’administration fiscale
L’association SOS Éducation, lanceur d’alerte sur le transgenrisme, écope d’une amende d’environ 1,6 million d’euros de l’administration fiscale.
SOS Éducation est une association loi 1901 indépendante de tout mouvement politique, syndical, professionnel et confessionnel. Elle milite pour l’amélioration du système éducatif français et a écopé d’une amende de près de 1,6 million d’euros, nous apprend Sud Radio ce mardi 29 août.
Étant depuis 5 ans dans le viseur de l’administration française, SOS Éducation s’est exprimée par le biais de Sophie Audugé, déléguée générale et porte-parole de SOS Éducation, au micro de Sud Radio ce mardi. Pour elle, ce qui « tue SOS Éducation
c’est ce qui a tué l’école, à savoir la politique ».
SOS Éducation défend « le parti de l’enfant »
« SOS Éducation, depuis son origine, a toujours défendu une école qui instruit, sans prendre aucun autre parti, c’est-à-dire ni un parti de droite, ni un parti de gauche, mais le parti de l’enfant », a d’abord lancé la porte-parole.
Depuis 20 ans, l’association agit pour un meilleur système éducatif en France, dans l’intérêt des élèves et des enseignants. Elle n’hésite donc pas à critiquer les méthodes éducatives, « qu’elles soient à droite, ou à gauche ».
« Alors quand vous critiquez les politiques éducatives et quand vous critiquez des gouvernements de gauche, généralement c’est les médias qui vous tuent. Quand vous critiquez des politiques de droite, c’est plutôt par la voie des contrôles », a-t-elle spécifié à André Bercoff.
Quant à savoir ce qui est réellement reproché à SOS Éducation pour avoir écopé d’une amende d’environ 1,6 million d’euros, la porte-parole a expliqué : « On a le sentiment qu’on nous reproche le fait qu’on soit libre et qu’on critique ouvertement, des politiques éducatives qui sont contraires à ce qui devrait être. »
Elle a ensuite détaillé les différents points sur lesquels l’association s’était déjà opposée, nommant tout d’abord l’interdiction de l’instruction en famille pour les parents, « qui a été une manipulation de la loi séparatisme », a-t-elle précisé, avant d’ajouter que l’un des autres combats de l’association a été l’opposition à l’écriture inclusive à l’école. SOS Éducation avait d’ailleurs
mené une pétition intitulée « Non à l’écriture inclusive ».
« SOS Éducation s’oppose à toutes les actions qui relèvent du wokisme »
Cette revendication, adressée au ministre de l’Éducation nationale de l’époque Jean-Michel Blanquer, mentionnait : « L’écriture inclusive menace l’enseignement scolaire de nos enfants, alors que beaucoup ont déjà de grandes difficultés à maîtriser la grammaire et l’orthographe. Face à ce grave danger, nous vous demandons de réagir avec vigueur et fermeté. Nous ne pouvons accepter
la mise en péril de notre langue à des fins idéologiques ! »
À ce jour, la pétition a recueilli plus de 58.500 signatures. « On a obtenu de Jean-Michel Blanquer une circulaire qui interdit, évidemment, l’écriture inclusive à l’école », a encore signifié Sophie Audugé au micro de Sud Radio, car SOS Éducation s’oppose à toutes les actions qui relèvent du wokisme, donc à l’écriture inclusive qui est finalement « totalement discriminante » et éloigne les personnes connaissant le moins la langue française du savoir, et les empêche ainsi « d’accéder aux textes ».
En outre, l’association s’est récemment opposée à l’idéologie trans affirmative du genre à l’école, en prenant d’ailleurs une position « très ferme ». « On a attaqué la circulaire de transidentité de Blanquer et on a aujourd’hui un recours au conseil d’état qui demande, évidemment, l’annulation de cette circulaire qui bafoue de nombreuses libertés fondamentales », a conclu la porte-parole.
« Aidez-nous à poursuivre notre mission d’intérêt général »
Sur Twitter devenu X, l’association des Mamans Louves a tiré la sonnette d’alarme en déclarant : « SOS Éducation ne doit pas disparaître. Si on ne se mobilise pas, d’ici la fin de l’année l’administration aura réussi son objectif : faire taire son opposition tant vitale pour les enfants. »
« Oui SOS Éducation est dans le viseur. L’État considère que nos actions ne relèvent pas de la cause éducative. Invraisemblable dans un État de Droit. Ils veulent avoir le champ libre pour s’attaquer à l’innocence des enfants, sacrifier leur soif d’apprendre et déconstruire leur identité », a dénoncé sur le réseau social SOS Éducation en réponse aux Mamans Louves, appelant d’urgence à la mobilisation.
SOS Éducation est une association loi 1901 indépendante de tout mouvement politique, syndical, professionnel et confessionnel. Elle milite pour l’amélioration du système éducatif français et a écopé d’une amende de près de 1,6 million d’euros, nous apprend Sud Radio ce mardi 29 août.
Étant depuis 5 ans dans le viseur de l’administration française, SOS Éducation s’est exprimée par le biais de Sophie Audugé, déléguée générale et porte-parole de SOS Éducation, au micro de Sud Radio ce mardi. Pour elle, ce qui « tue SOS Éducation
c’est ce qui a tué l’école, à savoir la politique ».
SOS Éducation défend « le parti de l’enfant »
« SOS Éducation, depuis son origine, a toujours défendu une école qui instruit, sans prendre aucun autre parti, c’est-à-dire ni un parti de droite, ni un parti de gauche, mais le parti de l’enfant », a d’abord lancé la porte-parole.
Depuis 20 ans, l’association agit pour un meilleur système éducatif en France, dans l’intérêt des élèves et des enseignants. Elle n’hésite donc pas à critiquer les méthodes éducatives, « qu’elles soient à droite, ou à gauche ».
« Alors quand vous critiquez les politiques éducatives et quand vous critiquez des gouvernements de gauche, généralement c’est les médias qui vous tuent. Quand vous critiquez des politiques de droite, c’est plutôt par la voie des contrôles », a-t-elle spécifié à André Bercoff.
Quant à savoir ce qui est réellement reproché à SOS Éducation pour avoir écopé d’une amende d’environ 1,6 million d’euros, la porte-parole a expliqué : « On a le sentiment qu’on nous reproche le fait qu’on soit libre et qu’on critique ouvertement, des politiques éducatives qui sont contraires à ce qui devrait être. »
Elle a ensuite détaillé les différents points sur lesquels l’association s’était déjà opposée, nommant tout d’abord l’interdiction de l’instruction en famille pour les parents, « qui a été une manipulation de la loi séparatisme », a-t-elle précisé, avant d’ajouter que l’un des autres combats de l’association a été l’opposition à l’écriture inclusive à l’école. SOS Éducation avait d’ailleurs
mené une pétition intitulée « Non à l’écriture inclusive ».
« SOS Éducation s’oppose à toutes les actions qui relèvent du wokisme »
Cette revendication, adressée au ministre de l’Éducation nationale de l’époque Jean-Michel Blanquer, mentionnait : « L’écriture inclusive menace l’enseignement scolaire de nos enfants, alors que beaucoup ont déjà de grandes difficultés à maîtriser la grammaire et l’orthographe. Face à ce grave danger, nous vous demandons de réagir avec vigueur et fermeté. Nous ne pouvons accepter
la mise en péril de notre langue à des fins idéologiques ! »
À ce jour, la pétition a recueilli plus de 58.500 signatures. « On a obtenu de Jean-Michel Blanquer une circulaire qui interdit, évidemment, l’écriture inclusive à l’école », a encore signifié Sophie Audugé au micro de Sud Radio, car SOS Éducation s’oppose à toutes les actions qui relèvent du wokisme, donc à l’écriture inclusive qui est finalement « totalement discriminante » et éloigne les personnes connaissant le moins la langue française du savoir, et les empêche ainsi « d’accéder aux textes ».
En outre, l’association s’est récemment opposée à l’idéologie trans affirmative du genre à l’école, en prenant d’ailleurs une position « très ferme ». « On a attaqué la circulaire de transidentité de Blanquer et on a aujourd’hui un recours au conseil d’état qui demande, évidemment, l’annulation de cette circulaire qui bafoue de nombreuses libertés fondamentales », a conclu la porte-parole.
« Aidez-nous à poursuivre notre mission d’intérêt général »
Sur Twitter devenu X, l’association des Mamans Louves a tiré la sonnette d’alarme en déclarant : « SOS Éducation ne doit pas disparaître. Si on ne se mobilise pas, d’ici la fin de l’année l’administration aura réussi son objectif : faire taire son opposition tant vitale pour les enfants. »
« Oui SOS Éducation est dans le viseur. L’État considère que nos actions ne relèvent pas de la cause éducative. Invraisemblable dans un État de Droit. Ils veulent avoir le champ libre pour s’attaquer à l’innocence des enfants, sacrifier leur soif d’apprendre et déconstruire leur identité », a dénoncé sur le réseau social SOS Éducation en réponse aux Mamans Louves, appelant d’urgence à la mobilisation.