Voulez-vous ficher la paix aux enfants?
Rappelons-les.
D’abord, les opérations de changement de sexe, chez les enfants et les adolescents. C’est pourtant une simple question de prudence: une opération de changement de sexe est majeure, et à sa manière irréversible. On ne devrait pas la prendre à la légère.
EnfantsHélas, aujourd’hui, l’idéologie trans radicale pousse les jeunes qui se questionnent sur leur identité, chose banale s’il en est une, à se demander s’ils sont nés dans le bon corps. Et une partie du personnel médical se montre très complaisante avec ce discours.
Certes, il existe une telle chose que la dysphorie de genre.
Mais aujourd’hui, on prend prétexte d’elle, alors qu’elle est très rare, pour déstabiliser psychiquement l’identité de la jeune génération, traitée sur le mode de l’enfant cobaye.
Écoutez Les idées mènent le monde, une série balado qui cherche a éclairer, à travers le travail des intellectuels,
les grands enjeux de sociétés.On pousse la jeunesse à se définir dans les catégories «non binaires» et autres termes semblables.Ces catégories ne se sont pas imposées parce qu’elles allaient de soi, mais à cause d’un activisme très présent à l’école, notamment, qui entend transformer notre compréhension de l’identité humaine.
De même, les conservateurs veulent encadrer la présence des femmes trans (des hommes biologiques qui s’identifient comme femmes) dans les compétitions sportives. On appelle cela de la justice élémentaire pour les sportives.
Être un homme ou une femme n’est ni une opinion ni un ressenti. C’est un fait biologique, d’abord, culturel, ensuite. La science a ses droits. La théorie du genre, elle, relève de la pseudoscience.
Mais voilà, la gauche médiatique veut nous faire croire que ces préoccupations sont illégitimes, qu’elles seraient même d’extrême droite (comme toujours!), et qu’elles représenteraient pour notre temps l’équivalent du combat d’hier de la droite religieuse contre l’avortement.
Sauf que ces deux causes n’ont absolument rien à voir.
Il serait temps qu’on fiche la paix aux enfants.
D’abord, les opérations de changement de sexe, chez les enfants et les adolescents. C’est pourtant une simple question de prudence: une opération de changement de sexe est majeure, et à sa manière irréversible. On ne devrait pas la prendre à la légère.
EnfantsHélas, aujourd’hui, l’idéologie trans radicale pousse les jeunes qui se questionnent sur leur identité, chose banale s’il en est une, à se demander s’ils sont nés dans le bon corps. Et une partie du personnel médical se montre très complaisante avec ce discours.
Certes, il existe une telle chose que la dysphorie de genre.
Mais aujourd’hui, on prend prétexte d’elle, alors qu’elle est très rare, pour déstabiliser psychiquement l’identité de la jeune génération, traitée sur le mode de l’enfant cobaye.
Écoutez Les idées mènent le monde, une série balado qui cherche a éclairer, à travers le travail des intellectuels,
les grands enjeux de sociétés.On pousse la jeunesse à se définir dans les catégories «non binaires» et autres termes semblables.Ces catégories ne se sont pas imposées parce qu’elles allaient de soi, mais à cause d’un activisme très présent à l’école, notamment, qui entend transformer notre compréhension de l’identité humaine.
De même, les conservateurs veulent encadrer la présence des femmes trans (des hommes biologiques qui s’identifient comme femmes) dans les compétitions sportives. On appelle cela de la justice élémentaire pour les sportives.
Être un homme ou une femme n’est ni une opinion ni un ressenti. C’est un fait biologique, d’abord, culturel, ensuite. La science a ses droits. La théorie du genre, elle, relève de la pseudoscience.
Mais voilà, la gauche médiatique veut nous faire croire que ces préoccupations sont illégitimes, qu’elles seraient même d’extrême droite (comme toujours!), et qu’elles représenteraient pour notre temps l’équivalent du combat d’hier de la droite religieuse contre l’avortement.
Sauf que ces deux causes n’ont absolument rien à voir.
Il serait temps qu’on fiche la paix aux enfants.