Éducation sexuelle :
du contenu explicite distribué en classe
Des documents abordant des thèmes comme la consommation de drogues lors d'ébats sexuels ont été remis à des enfants.
Après avoir assisté à un cours d'éducation sexuelle, des étudiants britanno-colombiens en sixième et septième année du primaire ont eu droit à toute une surprise : ils ont reçu un guide au contenu pour le moins explicite, lequel abordait des thèmes douteux comme la consommation de drogues pendant l'amour et la soumission sexuelle entre partenaires.
Apparemment, l'infirmière ayant donné le cours a distribué par erreur cette brochure, laquelle, soulignons-le, est normalement destinée aux adultes. Le directeur général des opérations cliniques de la région d'East Kootenay, Roger Parsonage, a avoué avoir du mal à comprendre comment ces dépliants s'étaient rendus en possession des élèves. Il a ensuite déclaré qu'à l'avenir,
son organisation s'assurerait d'approuver tout matériel devant être remis aux étudiants.
Certains parents n'ont manifestement pas aimé que leur enfant soit exposé à un contenu pareil. C'est pourquoi la surintendante responsable des écoles du district de Kootenay, Christine Perkins, a demandé au psychologue de l'école d'offrir des thérapies aux élèves qui en ressentiraient le besoin.
Notons que ce n'est pas la première fois où les cours d'éducation sexuelle frôlent la ligne entre une approche ouverte et douteuse. Plus particulièrement, des parents ont récemment porté plainte après que leur enfant se fût fait expliquer, à l'école,
que les « filles » et les « garçons » n'existaient pas.
Après avoir assisté à un cours d'éducation sexuelle, des étudiants britanno-colombiens en sixième et septième année du primaire ont eu droit à toute une surprise : ils ont reçu un guide au contenu pour le moins explicite, lequel abordait des thèmes douteux comme la consommation de drogues pendant l'amour et la soumission sexuelle entre partenaires.
Apparemment, l'infirmière ayant donné le cours a distribué par erreur cette brochure, laquelle, soulignons-le, est normalement destinée aux adultes. Le directeur général des opérations cliniques de la région d'East Kootenay, Roger Parsonage, a avoué avoir du mal à comprendre comment ces dépliants s'étaient rendus en possession des élèves. Il a ensuite déclaré qu'à l'avenir,
son organisation s'assurerait d'approuver tout matériel devant être remis aux étudiants.
Certains parents n'ont manifestement pas aimé que leur enfant soit exposé à un contenu pareil. C'est pourquoi la surintendante responsable des écoles du district de Kootenay, Christine Perkins, a demandé au psychologue de l'école d'offrir des thérapies aux élèves qui en ressentiraient le besoin.
Notons que ce n'est pas la première fois où les cours d'éducation sexuelle frôlent la ligne entre une approche ouverte et douteuse. Plus particulièrement, des parents ont récemment porté plainte après que leur enfant se fût fait expliquer, à l'école,
que les « filles » et les « garçons » n'existaient pas.