Des distributrices de drogues contre les surdoses d'opioïdes
Cinq d'entre elles seront déployées cette semaine.
Les distributrices doivent pouvoir fournir aux personnes dépendantes aux opioïdes des drogues sécuritaires,
comme l’hydromorphone, un dérivé de la morphine.
comme l’hydromorphone, un dérivé de la morphine.
Une entreprise de la Nouvelle-Écosse déploie cette semaine au Canada cinq distributrices automatiques de drogues sécuritaires
afin de lutter contre la crise des opioïdes au pays.
On estime que plus de 15 000 Canadiens sont morts d’une surdose liée aux opioïdes depuis janvier 2016, dont plus du tiers en Colombie-Britannique seulement. Les opioïdes achetés dans la rue contiennent souvent des produits de mauvaise qualité ou des substances de synthèse extrêmement puissantes, comme le fentanyl.
La société Dispension Industries, de Dartmouth, affirme que ses distributrices, qui ressemblent à un guichet automatique, peuvent fournir aux personnes dépendantes aux opioïdes des drogues sécuritaires, comme l’hydromorphone, un dérivé de la morphine.
Les utilisateurs n’ont qu’à présenter la paume de leur main pour un balayage numérique de reconnaissance. Cette autorisation biométrique permettra ensuite à l’usager d’obtenir une dose de drogue sécuritaire.
Le président fondateur de l’entreprise, Corey Yantha, souhaite installer ses distributrices d’ici la fin de la semaine à Dartmouth en Nouvelle-Écosse, à London, en Ontario, ainsi qu’à Vancouver et à Victoria, en Colombie-Britannique.
M. Yantha explique que ce déploiement fait suite à un projet pilote qui avait commencé à la fin de l’année dernière dans le quartier «Downtown Eastside» de Vancouver, un secteur qui a été au coeur de la crise des opioïdes au Canada.
afin de lutter contre la crise des opioïdes au pays.
On estime que plus de 15 000 Canadiens sont morts d’une surdose liée aux opioïdes depuis janvier 2016, dont plus du tiers en Colombie-Britannique seulement. Les opioïdes achetés dans la rue contiennent souvent des produits de mauvaise qualité ou des substances de synthèse extrêmement puissantes, comme le fentanyl.
La société Dispension Industries, de Dartmouth, affirme que ses distributrices, qui ressemblent à un guichet automatique, peuvent fournir aux personnes dépendantes aux opioïdes des drogues sécuritaires, comme l’hydromorphone, un dérivé de la morphine.
Les utilisateurs n’ont qu’à présenter la paume de leur main pour un balayage numérique de reconnaissance. Cette autorisation biométrique permettra ensuite à l’usager d’obtenir une dose de drogue sécuritaire.
Le président fondateur de l’entreprise, Corey Yantha, souhaite installer ses distributrices d’ici la fin de la semaine à Dartmouth en Nouvelle-Écosse, à London, en Ontario, ainsi qu’à Vancouver et à Victoria, en Colombie-Britannique.
M. Yantha explique que ce déploiement fait suite à un projet pilote qui avait commencé à la fin de l’année dernière dans le quartier «Downtown Eastside» de Vancouver, un secteur qui a été au coeur de la crise des opioïdes au Canada.