EXCLUSIF: Les Forces armées canadiennes exigent que tout le personnel cesse d'utiliser des pronoms sexués
Dans un nouveau changement de politique, les Forces armées canadiennes n'utiliseront plus de pronoms sexués.
Libby Emmons et Nico Johnson The Post Millennial
Dans un nouveau changement de politique, les Forces armées canadiennes n'utiliseront plus de pronoms sexués dans les rapports officiels.
Les documents obtenus par le commentateur conservateur Aaron Gunn et présentés au Post Millennial révèlent que les militaires ne sont plus autorisés à écrire lui ou elle, mais doivent le remplacer par leurs pronoms, quels que soient les pronoms préférés d'un individu.
Les pronoms de genre interdits dans l'armée canadienne?
L'armée canadienne est l'institution la plus importante du pays. L'utiliser comme laboratoire pour l'ingénierie sociale
et le politiquement correct est une erreur. Voici ce que vous devez savoir 👉
Publié par Aaron Gunn le dimanche 12 avril 2020Émis via le message général des Forces canadiennes , ces changements qui privent une personne de son identité sexuelle par écrit visent à encourager la diversité des sexes. Dans les rapports sur le personnel, aucun supérieur ne sera autorisé à utiliser des pronoms qui désignent
ou font référence au sexe biologique d'une personne. L'avis se lit comme suit:
«Basée sur un récent changement culturel et normatif des FAC visant à promouvoir la diversité des genres et l'inclusivité associée, la politique et le guide de rédaction du SEPFC [Système d'évaluation du personnel des Forces canadiennes] refléteront également cette nouvelle réalité où le sexe, l'identité de genre et l'expression de genre sont des motifs de discrimination interdits. en vertu de la Loi canadienne sur les droits de la personne. Aussitôt, l'utilisation de pronoms de genre tels que citation qu'il / elle et elle / citation ne doivent pas être utilisés lors de la rédaction de pers. Les membres seront désignés par rang et nom ou en utilisant des pronoms non sexistes tels qu'ils / leurs. »
Dans la pratique, les supérieurs hiérarchiques, qui sont tenus de rédiger des rapports de notation pour ceux qui en dépendent, ne seront pas autorisés à utiliser les pronoms de leur choix s'ils s'identifient en tant qu'hommes ou femmes et utilisent des pronoms basés sur le sexe.
Au lieu de cela, tout le monde sera référencé avec les pronoms acceptables et pluriels non sexistes de «ils, leurs, eux».
On ne sait pas encore comment le personnel des Forces armées canadiennes réagira à la privation de son identité sexuelle dans ses documents personnels. Il n'est actuellement pas clair quelles peuvent être les conséquences
pour les fonctionnaires qui ne suivent pas le nouveau protocole.
En 2016, le projet de loi C-16 a été adopté modifiant la Loi canadienne sur les droits de la personne. Il a ajouté l'expression de genre à la liste des groupes qui sont protégés contre la discrimination, et a ajusté les lois contre le discours de haine
et les crimes de haine pour inclure des protections pour l'expression de genre.
Bien que l'utilisation des pronoms préférés ait été considérée comme un élément nécessaire de la promotion et de l'inclusion de la diversité des genres, ce changement par les FAC est la première fois que les pronoms préférés sont officiellement
réduits en faveur d'un système fourre-tout de pronoms non sexistes.
Libby Emmons et Nico Johnson The Post Millennial
Dans un nouveau changement de politique, les Forces armées canadiennes n'utiliseront plus de pronoms sexués dans les rapports officiels.
Les documents obtenus par le commentateur conservateur Aaron Gunn et présentés au Post Millennial révèlent que les militaires ne sont plus autorisés à écrire lui ou elle, mais doivent le remplacer par leurs pronoms, quels que soient les pronoms préférés d'un individu.
Les pronoms de genre interdits dans l'armée canadienne?
L'armée canadienne est l'institution la plus importante du pays. L'utiliser comme laboratoire pour l'ingénierie sociale
et le politiquement correct est une erreur. Voici ce que vous devez savoir 👉
Publié par Aaron Gunn le dimanche 12 avril 2020Émis via le message général des Forces canadiennes , ces changements qui privent une personne de son identité sexuelle par écrit visent à encourager la diversité des sexes. Dans les rapports sur le personnel, aucun supérieur ne sera autorisé à utiliser des pronoms qui désignent
ou font référence au sexe biologique d'une personne. L'avis se lit comme suit:
«Basée sur un récent changement culturel et normatif des FAC visant à promouvoir la diversité des genres et l'inclusivité associée, la politique et le guide de rédaction du SEPFC [Système d'évaluation du personnel des Forces canadiennes] refléteront également cette nouvelle réalité où le sexe, l'identité de genre et l'expression de genre sont des motifs de discrimination interdits. en vertu de la Loi canadienne sur les droits de la personne. Aussitôt, l'utilisation de pronoms de genre tels que citation qu'il / elle et elle / citation ne doivent pas être utilisés lors de la rédaction de pers. Les membres seront désignés par rang et nom ou en utilisant des pronoms non sexistes tels qu'ils / leurs. »
Dans la pratique, les supérieurs hiérarchiques, qui sont tenus de rédiger des rapports de notation pour ceux qui en dépendent, ne seront pas autorisés à utiliser les pronoms de leur choix s'ils s'identifient en tant qu'hommes ou femmes et utilisent des pronoms basés sur le sexe.
Au lieu de cela, tout le monde sera référencé avec les pronoms acceptables et pluriels non sexistes de «ils, leurs, eux».
On ne sait pas encore comment le personnel des Forces armées canadiennes réagira à la privation de son identité sexuelle dans ses documents personnels. Il n'est actuellement pas clair quelles peuvent être les conséquences
pour les fonctionnaires qui ne suivent pas le nouveau protocole.
En 2016, le projet de loi C-16 a été adopté modifiant la Loi canadienne sur les droits de la personne. Il a ajouté l'expression de genre à la liste des groupes qui sont protégés contre la discrimination, et a ajusté les lois contre le discours de haine
et les crimes de haine pour inclure des protections pour l'expression de genre.
Bien que l'utilisation des pronoms préférés ait été considérée comme un élément nécessaire de la promotion et de l'inclusion de la diversité des genres, ce changement par les FAC est la première fois que les pronoms préférés sont officiellement
réduits en faveur d'un système fourre-tout de pronoms non sexistes.