L'interdiction fédérale de la «thérapie de conversion» menace de mettre en prison des parents bienveillants
Si le projet de loi C-8 de Trudeau devenait loi, les parents pourraient passer jusqu'à cinq ans en prison pour avoir essayé d'aider leur fils à s'accepter comme un garçon, ou pour avoir aidé leur fille à s'accepter comme une fille. C-8 imposerait également des peines de prison pouvant aller jusqu'à cinq ans aux médecins, conseillers, psychiatres, psychologues et autres professionnels rémunérés dont le traitement pour la confusion des sexes s'écarte de la nouvelle orthodoxie des sexes. Si les députés votent pour faire de la loi C-8, les parents et les professionnels qui souhaitent aider les enfants dysphoriques de genre n'auront en fait qu'une seule option légale: encourager un enfant confus à «passer»
au sexe opposé.
«Transition» signifie prendre des bloqueurs de la puberté, des hormones de sexe opposé et même subir une stérilisation permanente
et des chirurgies physiques: les organes sains tels que les seins et les testicules sont retirés.
La nouvelle interdiction du gouvernement libéral sur la «thérapie de conversion» la définit comme «une pratique, un traitement ou un service conçu pour changer l'orientation sexuelle d'une personne en identité hétérosexuelle ou de genre en cisgenre, ou pour réprimer ou réduire l'attraction non hétérosexuelle ou le comportement sexuel». Le terme «cis-gender» (prononcé «sis-gender») est un terme utilisé par les activistes transgenres pour désigner une femme qui se sent aussi comme (ou s'identifie comme) une femme, ou un homme qui se sent (ou s'identifie comme) un homme. En vertu de C-8, essayer de changer «l'identité de genre» en «cisgenre» signifie essayer d'aider un homme à
se sentir à l'aise en tant qu'homme, ou de même aider une femme à se sentir à l'aise en tant que femme.
Si le C-8 devient loi, il deviendra criminel au Canada d'aider les garçons et les filles aux prises avec l'identité
de genre à trouver la paix en acceptant la réalité biologique.
Le projet de loi C-8 ne tient pas compte du fait que la grande majorité des enfants qui souffrent de troubles de l'identité de genre les dépasseront au moment où ils atteindront l'âge de 18 ans, à condition qu'ils soient autorisés à passer par la puberté. Au cours de nombreuses années, les médecins Kenneth J.Zucker et Susan Bradley ont aidé des centaines d'enfants du Gender Identity Service du Centre for
Addiction and Mental Health de Toronto à se sentir à l'aise dans le corps dans lequel ils sont nés.
Le projet de loi C-8 crée une rue à sens unique. Aider un garçon confus à accepter son sexe devient criminel. Mais faire en sorte qu'un garçon se sente mal à l'aise d'être un garçon et suggérer aux jeunes qu '«il n'y a rien de tel que les garçons et les filles» et convaincre une fille qu'elle est en réalité un garçon coincé dans le corps d'une fille, tout cela reste parfaitement légal. Les militants qui ont si habilement infiltré nos écoles publiques (et religieuses) n'ont rien à craindre du C-8; ils peuvent continuer à sexualiser nos enfants
et à promouvoir l'idéologie transgenre auprès des jeunes vulnérables.
Le projet de loi C-8 impose également cette hypocrisie en matière d'orientation sexuelle. C-8 ignore la réalité des personnes qui témoignent publiquement d'avoir personnellement vécu des changements dans leur orientation sexuelle, dont ils sont reconnaissants. Trudeau Senior a déclaré «qu'il n'y a pas de place pour l'État dans les chambres du pays», mais Trudeau Junior invite maintenant l'État dans
les bureaux de tous les médecins, conseillers et membres du clergé.
Le projet de loi C-8 interdit illégalement de «faire» subir une «thérapie de conversion» à une personne de moins de 18 ans, ce qui comprend la réduction du comportement sexuel non hétérosexuel. Le conseil religieux est certainement à la fois une «pratique» et un «service» qui relèvent du C-8. Les fidèles discutent volontairement de leurs attraits sexuels et de leur comportement sexuel avec un clergé de confiance et respecté. C-8 crée un double standard pour les personnes qui cherchent à réduire - ou à éliminer - leur comportement sexuellement promiscuité. C-8 permet aux pasteurs, rabbins, imams et prêtres de conseiller aux hétérosexuels (de tous âges) de s'abstenir de toute promiscuité sexuelle. Mais C-8 fait un crime pour ces mêmes chefs religieux de conseiller aux adolescents homosexuels de s'abstenir de toute promiscuité sexuelle.
C-8 fait également du crime pour le clergé d'aider les enfants et les adolescents à accepter leur sexe de naissance.
Il serait possible de contester C-8 devant les tribunaux pour avoir violé les droits et libertés garantis par la Charte, comme le droit des parents d'élever et d'éduquer leurs propres enfants comme les parents le jugent le mieux, et les libertés de religion, d'expression et d'association. Mais il serait bien, beaucoup mieux de rejeter ce projet de loi anti-Charte et de l'empêcher de devenir loi en premier lieu.
Les Canadiens qui se soucient des enfants et qui chérissent nos libertés garanties par la Charte doivent
communiquer avec leur député immédiatement.
L'avocat John Carpay est président du Centre de justice pour les libertés constitutionnelles (JCCF.ca)
au sexe opposé.
«Transition» signifie prendre des bloqueurs de la puberté, des hormones de sexe opposé et même subir une stérilisation permanente
et des chirurgies physiques: les organes sains tels que les seins et les testicules sont retirés.
La nouvelle interdiction du gouvernement libéral sur la «thérapie de conversion» la définit comme «une pratique, un traitement ou un service conçu pour changer l'orientation sexuelle d'une personne en identité hétérosexuelle ou de genre en cisgenre, ou pour réprimer ou réduire l'attraction non hétérosexuelle ou le comportement sexuel». Le terme «cis-gender» (prononcé «sis-gender») est un terme utilisé par les activistes transgenres pour désigner une femme qui se sent aussi comme (ou s'identifie comme) une femme, ou un homme qui se sent (ou s'identifie comme) un homme. En vertu de C-8, essayer de changer «l'identité de genre» en «cisgenre» signifie essayer d'aider un homme à
se sentir à l'aise en tant qu'homme, ou de même aider une femme à se sentir à l'aise en tant que femme.
Si le C-8 devient loi, il deviendra criminel au Canada d'aider les garçons et les filles aux prises avec l'identité
de genre à trouver la paix en acceptant la réalité biologique.
Le projet de loi C-8 ne tient pas compte du fait que la grande majorité des enfants qui souffrent de troubles de l'identité de genre les dépasseront au moment où ils atteindront l'âge de 18 ans, à condition qu'ils soient autorisés à passer par la puberté. Au cours de nombreuses années, les médecins Kenneth J.Zucker et Susan Bradley ont aidé des centaines d'enfants du Gender Identity Service du Centre for
Addiction and Mental Health de Toronto à se sentir à l'aise dans le corps dans lequel ils sont nés.
Le projet de loi C-8 crée une rue à sens unique. Aider un garçon confus à accepter son sexe devient criminel. Mais faire en sorte qu'un garçon se sente mal à l'aise d'être un garçon et suggérer aux jeunes qu '«il n'y a rien de tel que les garçons et les filles» et convaincre une fille qu'elle est en réalité un garçon coincé dans le corps d'une fille, tout cela reste parfaitement légal. Les militants qui ont si habilement infiltré nos écoles publiques (et religieuses) n'ont rien à craindre du C-8; ils peuvent continuer à sexualiser nos enfants
et à promouvoir l'idéologie transgenre auprès des jeunes vulnérables.
Le projet de loi C-8 impose également cette hypocrisie en matière d'orientation sexuelle. C-8 ignore la réalité des personnes qui témoignent publiquement d'avoir personnellement vécu des changements dans leur orientation sexuelle, dont ils sont reconnaissants. Trudeau Senior a déclaré «qu'il n'y a pas de place pour l'État dans les chambres du pays», mais Trudeau Junior invite maintenant l'État dans
les bureaux de tous les médecins, conseillers et membres du clergé.
Le projet de loi C-8 interdit illégalement de «faire» subir une «thérapie de conversion» à une personne de moins de 18 ans, ce qui comprend la réduction du comportement sexuel non hétérosexuel. Le conseil religieux est certainement à la fois une «pratique» et un «service» qui relèvent du C-8. Les fidèles discutent volontairement de leurs attraits sexuels et de leur comportement sexuel avec un clergé de confiance et respecté. C-8 crée un double standard pour les personnes qui cherchent à réduire - ou à éliminer - leur comportement sexuellement promiscuité. C-8 permet aux pasteurs, rabbins, imams et prêtres de conseiller aux hétérosexuels (de tous âges) de s'abstenir de toute promiscuité sexuelle. Mais C-8 fait un crime pour ces mêmes chefs religieux de conseiller aux adolescents homosexuels de s'abstenir de toute promiscuité sexuelle.
C-8 fait également du crime pour le clergé d'aider les enfants et les adolescents à accepter leur sexe de naissance.
Il serait possible de contester C-8 devant les tribunaux pour avoir violé les droits et libertés garantis par la Charte, comme le droit des parents d'élever et d'éduquer leurs propres enfants comme les parents le jugent le mieux, et les libertés de religion, d'expression et d'association. Mais il serait bien, beaucoup mieux de rejeter ce projet de loi anti-Charte et de l'empêcher de devenir loi en premier lieu.
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- Cliquez sur ce lien: http://www.assnat.qc.ca/fr/index.html
- Allez au centre de la page
- Puis trouvez la section: Trouver un député par code postal, par nom ou par circonscription
- Entrez dans la barre de recherche votre code postal sans espace, exemple: J8T0C3
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C’est simple et facile!
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