Walt Disney perd 33 % de sa valeur
en bourse en un an
Les actions de la société Walt Disney Co sont les moins performantes du Dow Jones Industrial Average au cours de l’année écoulée,
avec une chute de 33 % au cours des 12 derniers mois.
Parmi les 30 sociétés qui composent le Dow Jones, Disney a vu le prix de ses actions chuter le plus en pourcentage, suivi de 3M, qui est en baisse de 25 %, et de Home Depot, en baisse de 23 %.
Les actions de Disney ont baissé de plus de 5 % mercredi et de 2 % jeudi les investisseurs restant nerveux vis-à-vis des sociétés de divertissement en diffusion continue (streaming) après les résultats désastreux de Netflix au premier trimestre, dus en partie à la partie de 700 000 abonnés en Russie. Les 260 000 abonnés ukrainiens sont sans doute aussi menacés. Les résultats des abonnements à Disney+ ont récemment déçu Wall Street lorsque la société a publié ses résultats trimestriels en novembre, provoquant la chute du titre.
La Maison de la Souris House fait également face à des difficultés en Floride, où le sénat de l’État a adopté mercredi un projet de loi qui priverait Disney World à Orlando de son statut d’autonomie.
Le projet de loi est maintenant transféré à la Chambre, qui devrait l’adopter et le soumettre à la signature du gouverneur républicain, Ron De Santis, qui a publiquement encouragé la législature à adopter ce projet de loi.
La chute brutale des actions de Disney survient alors que la société a adopté une politique d’extrême gauche « woke », en particulier l’exposition des jeunes enfants à l’idéologie LGBTQ radicale. Ce faisant, le géant du divertissement s’est aliéné des millions de clients et s’est attiré les foudres des dirigeants républicains en Floride.
avec une chute de 33 % au cours des 12 derniers mois.
Parmi les 30 sociétés qui composent le Dow Jones, Disney a vu le prix de ses actions chuter le plus en pourcentage, suivi de 3M, qui est en baisse de 25 %, et de Home Depot, en baisse de 23 %.
Les actions de Disney ont baissé de plus de 5 % mercredi et de 2 % jeudi les investisseurs restant nerveux vis-à-vis des sociétés de divertissement en diffusion continue (streaming) après les résultats désastreux de Netflix au premier trimestre, dus en partie à la partie de 700 000 abonnés en Russie. Les 260 000 abonnés ukrainiens sont sans doute aussi menacés. Les résultats des abonnements à Disney+ ont récemment déçu Wall Street lorsque la société a publié ses résultats trimestriels en novembre, provoquant la chute du titre.
La Maison de la Souris House fait également face à des difficultés en Floride, où le sénat de l’État a adopté mercredi un projet de loi qui priverait Disney World à Orlando de son statut d’autonomie.
Le projet de loi est maintenant transféré à la Chambre, qui devrait l’adopter et le soumettre à la signature du gouverneur républicain, Ron De Santis, qui a publiquement encouragé la législature à adopter ce projet de loi.
La chute brutale des actions de Disney survient alors que la société a adopté une politique d’extrême gauche « woke », en particulier l’exposition des jeunes enfants à l’idéologie LGBTQ radicale. Ce faisant, le géant du divertissement s’est aliéné des millions de clients et s’est attiré les foudres des dirigeants républicains en Floride.
Des vidéos internes récemment divulguées montrent des dirigeants de Disney et des chefs de file créatifs plaidant ouvertement pour la promotion d’un programme homosexuel et transgenre dans les divertissements de l’entreprise pour les jeunes enfants. Les fuites sont survenues peu de temps après que Disney a déclaré la guerre à la loi de Floride sur les droits parentaux dans l’éducation, qui interdit l’enseignement de l’idéologie sexuelle et de genre aux enfants de la maternelle à la troisième année.Le PDG de Disney, Bob Chapek, a cédé à la pression d’un petit groupe d’employés qui ont exigé que l’entreprise abandonne sa position neutre sur la législation de Floride et adopte pleinement l’activisme LGBTQ.
Le gouverneur de Floride, De Santis, a riposté en révisant les privilèges de Disney. Ils comprennent le district autonome de Disney World, une zone de 10 000 hectares connue sous le nom de Reedy Creek Improvement District, où la société a des pouvoirs proches de ceux d’une municipalité et jouit d’une grande latitude pour se gouverner et développer le terrain sans l’approbation du gouvernement.
ÉCOLE LIBRE
Pour une école libre au Québec: Walt Disney perd 33 % de sa valeur en bourse en un an (xn--pourunecolelibre-hqb.com)
Pour une école libre au Québec: Walt Disney perd 33 % de sa valeur en bourse en un an (xn--pourunecolelibre-hqb.com)